Importance de l’érotisation

Érotisation :
Transformation (d'un acte, d'un état psychique sans signification sexuelle explicite) en motif de plaisir érotique.

Érotique :
1. DIDACTIQUE : Qui a rapport à l'amour.
Poésie érotique.
2. Qui a rapport à l'amour physique (sexuel) avec une dimension symbolique.
Des désirs érotiques.

erotisme
"Transformation en motif de plaisir"

L’érotisation est un principe créateur tellurique. Elle est en effet créatrice, donc susceptible de rendre effectivement réel ce qui ne l’est a priori pas (mais qui figure néanmoins dans le registre des possibilités, forcément), et de nature tellurique, à savoir en lien avec les énergies propres à la terre, le sol et ses profondeurs, l’élément, la planète, tout ce que l’on peut entendre par ce terme. Cette énergie est donc propre à tout ce qui touche la concrétisation, la matérialisation, la cristallisation de quelque chose qui se trouve initialement plus éthéré, disons moins tangible. Elle fait intervenir le chakra racine, « Muladhara », lequel intervient lui-même au cours de la mobilisation des énergies sexuelles. En somme, le « tellurisme », l’énergie sexuelle et le plaisir, sont intimement liés.

Le désir suscite le plaisir, et le plaisir, l'érotisme. L'érotisation par ce biais suscite les colossales forces du réel, afin de rendre réel quelque chose qui ne l'est pas encore.

L’érotisation est un processus alchimique au travers duquel un lien très puissant s’opère entre quelque chose d’extérieur à soi, qu’il soit physiquement manifesté ou simplement visualisé, et une forme de plaisir de nature sexuelle, lequel est volontairement suscité par le fait d’une montée du désir de nature équivalente, par un état d’esprit en rapport. Lorsque l’on a une vision érotisée d’une situation, on la teinte d’une énergie tellurique créatrice qui lui donne vie. Le phénomène-même de l’érotisation insuffle en effet un commandement précis à la réalité, intimant l’ordre à ce qui est ainsi envisagé, si ce n’est déjà fait bien évidemment, que la vie lui soit donnée, que ce qui est conceptualisé ou visualisé sous cet angle sexualisé, et sous cet angle seulement, devienne réel ! En cela repose le véritable pouvoir créateur de l’Être Humain, lequel a été oublié par trop de moralisation, de perversions, de diabolisation, de culpabilisation autour de la question du sexe et du plaisir. Ce conditionnement de masse autour de l’aseptisation de la sexualité, obtenu par le précieux concours des religions l’entachant de la question du péché, a maintenu l’Être Humain éloigné de son propre pouvoir de création par ceux qui ont toujours exercé le leur propre sur lui. Par ce pouvoir-là, l’Humanité aurait pu se défaire de ses prédateurs ; le seul pouvoir au monde auquel avait accès l’Humanité, et qui aurait pu défaire le leur. Étonnant non ?

On dit à raison que la pensée et l’émotion sont créatrices. En réalité, et surtout dans l’idéal, en termes de puissance du moins, cette émotion doit être sexuelle, ou au moins teintée de même, c’est-à-dire sexualisée, tout en restant bien sûr en corrélation avec le but poursuivit. En réalité, c’est comme allumer un feu avec du petit bois ou de l’essence. Dans tous les cas, on y arrive, admettons, mais l’effet n’est pas du tout le même et sa vitesse d’obtention non plus. Cela ne veut pas dire qu’il faut tout voir au travers d’un prisme sexuel et devenir érotomane, évidement non. En revanche, il est judicieux de faire passer l’objet de ses désirs par le filtre d’une vision «  sexualisée », de manière maîtrisée, pour donner à ce même objet une réalité parfaitement tangible.

Cela étant, il n’est pas forcément des plus simples de « sexualiser » quelque chose qui n’est pas censé éveiller un désir sexuel. En revanche, ce qui est susceptible de vous faire… fantasmer, si ! Les mots sont importants. Combien de belles voitures sont-elles représentées aux côtés de jolies filles, à seul titre d’exemple ? L’objet d’un désir, a priori du moins, peut être assez facilement sexualisé. La concrétisation de ce que vous convoitez est réalisée par une perspective réjouissante d’un désir de nature sexuel. En réalité, c’est extrêmement simple, trop simple et trop puissant pour que l’Humanité ait été autorisée, durant les temps desquels nous sortons, à conserver pour elle-même ce pouvoir-là, même s’agissant du sien propre, et d’autant plus.

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Néanmoins, il faut prendre conscience de l’ampleur de la responsabilité de son usage s’il devait être mal employé, du moins, pour des raisons qui puissent faire injure à la noblesse de l’âme humaine. Tout contrevenant à l’impérative obligation de probité à l’égard de l’usage d’un pouvoir, celui-ci ou un autre, prend le risque de devoir payer au prix fort la nécessité, à ses dépens, d’apprendre à s’en servir avec sagesse et bienveillance.

L’érotisation d’une pensée et d’une émotion, l’une combinée à l’autre, permet à leur objet d’acquérir une réalité tangible en passant par ce filtre. En voyant plus loin que l’idée que l’on puisse se faire de ce mot particulièrement connoté et nimbé d’une forme de salissure devant tenir les vertueux éloignés, comme attirer les déviants, on peut souligner l’importance fondamentale pour l’avenir de tout un chacun, à titre autant individuel que collectif, de passer maître en l’art de l’usage responsable de cette énergie, donc de savoir parfaitement la maîtriser.

Chacun peut devenir, en pleine conscience, artisan de sa propre vie et de son destin, et par conséquent du bonheur de chacun, en ayant conscience que le plaisir, en tant qu'instrument, et non en tant que finalité, est le but même du principe de l’existence. En mettant en lumière ce pouvoir accessible à tout un chacun parce qu'il est le sien propre, attaché à sa propre responsabilité personnelle, ce monde et tous les autres verront très bientôt ressusciter les fondements principiels de la vie elle-même à travers eux.

Dès cet instant, un bonheur l’est-il vraiment s’il est limité par l’absence de plaisir ? La question mérite d’être posée.

Nouvelle approche de la sexualité

D’où partons-nous et où allons-nous ?

Nous partons d’un point où ce qui est appelé « sexe », a une connotation sale et dégradante, un aspect animalisé et rabaissant, constitué de gestes envisagés comme simplement utiles à la reproduction, tel que l’enseignent les religions, au maximum comme une possible source de plaisir masturbatoire égoïste, sinon une occasion d’assouvir ses bas instincts (encore l’animalité, prônée par l’idéologie du satanisme*). Certaines personnes tentent de dépasser ça, mais finissent immanquablement par perdre l’essence même de la « sexualité » en se noyant dans des livres et des recettes « ésotériques » qui ne servent qu’à les perdre dans le bazar des avis partagés, créant une incompréhension générale, décrédibilisant donc l’aspect créateur d’une « sexualité » épanouie, et surtout fidèle à sa vocation primordiale.

Le fait est que la vérité est ailleurs : à une situation médiane entre le tabou d’origine moralisatrice et/ou religieuse, la permissivité chaotique et psychologiquement destructrice, le culte de « la nature et des petits oiseaux » qui vont de pair avec la déviance idéologique d’une soi-disant « sagesse sexuelle » d’origine luciférienne (donc « religieuse » également si l’on peut dire), la dépravation et l’irrespect de l’autre sexe, etc. ; en somme, entre les trois pôles de la stérilisation créatrice de la nature humaine, l’assouvissement de fantasmes malsains sous prétexte de sagesse inversée et une forme de bestialité.

Où allons-nous ?

Arrivez-vous à envisager votre épanouissement sous la forme d’une connexion bipolaire intense, où chacun se fond dans l’autre pour créer les plus belles merveilles de ce monde grâce à un plaisir et une complicité inégalés ? Arrivez-vous à envisager d’orienter votre esprit vers un objectif commun ou qui plaise à votre partenaire, et vous laisser aller à une montée graduelle de plaisir (sans vous laisser aller à l’orgasme), une fois ou deux consécutives, juste avant la jouissance de l’un ou des deux partenaires, et pulser vers cet objectif déterminé à l’avance l’énergie ainsi accumulée, avant de recommencer jusqu’à l’orgasme cette fois, en termes de conclusion au plaisir partagé ?

Comment résonne en vous cette perspective, honnêtement ?

Les temps s’ouvrent en direction d’un avenir proche où chacun pourra avoir à cœur de ne plus s’enliser ou, au contraire, se disperser, se perdre dans les méandres d’un abandon de règles, oscillant entre moralité et immoralité, bienséance et malséance, bien et mal, permissivité et culpabilité, laissant sa souveraineté aux mains du plus fort. Vous pourrez reprendre le pouvoir créateur qui est le vôtre pour apprendre à vivre librement au rythme de l’Unité et de la joie, menant à un épanouissement certain, qu’il soit personnel ou mutuel, en principe les deux si tout va bien.

Alors non, la sexualité en Âge de Diamant, ce n’est pas faire l’amour en missionnaire sous une lumière tamisé avec une chorale qui chante à chaque orgasme. C’est plutôt joyeux, léger comme un jeu, intense et d’une profondeur inégalée, et c’est évidemment inclusif !

Le principe de l'échange d'informations

Faire l’amour, boire le sperme ou la cyprine de son ou sa partenaire, la pénétration, tout cela crée un échange d’informations énorme sur base desquelles créer, ou simplement évoluer dans son incarnation avec toutes les cartes nécessaires à son jeu.

Si vous étiez un livre, faire l’amour serait comme créer le tome 2 de votre propre histoire
grâce à l’apport d’informations de votre partenaire.

Qu’est-ce qu’une sexualité inclusive ?

Attention, on vous voit venir… !
Non, ce n’est pas un No Man’s Land où les règles sont abrogées. Surtout pas !

C’est une sexualité avec un profond respect pour son ou sa partenaire, de son corps, de ses attentes et de son parcours, avec une priorité absolue qui lui est consentie à tout égard au titre de ce qui nous unit à elle ou lui. Mais « inclure » sous-entend effectivement « absence de rejet ».

Nous allons vous donner un exemple simple, mais éloquent. Admettons que vous soyez en couple. Votre partenaire à une attirance sexuelle pour une autre personne. C’est déjà arrivé à tout le monde, nous le savons bien, et curieusement, les « opportunités » se présentent bien davantage lorsque l’on est en couple que célibataire, n’est-ce pas ? Il y a bien évidemment une raison à cela. Nous ne parlons pas de l’envie que peut susciter la vue de quelqu’un qui puisse susciter le désir. On ne va pas se mentir, une jolie femme, un bel homme, c’est assurément attirant. Nous parlons d’attirance pour quelqu’un qui peut très bien être improbable en tant que partenaire sexuel, quelqu’un envers lequel ou laquelle cette attirance monte progressivement jusqu’à l’obsession si elle est réprimée, pouvant aller jusqu’à causer une dissociation culpabilisante dans le couple légitime dans la mesure où cette attirance prend le pas sur la pensée entretenue envers le ou la partenaire légitime.

Alors, dans ce cas, que faites-vous pour être inclusif ?

Cette attirance est due au simple fait de la nécessité d’échange d’informations compatibles, et, s’il s’agit bien de ce cas de figure et non la simple envie d’aller voir si l’herbe ne serait éventuellement pas plus verte ailleurs, l’attirance est systématiquement mutuelle et opère dans le même registre d’expression. Tout le monde connaît la crise des « sept ans », n’est-ce pas ? Au bout de sept ans, un couple exclusif (« exclusif » à comprendre dans le sens qui exclut tout partage) a épuisé son stock d’informations disponibles et échangeables. C’est factuel et c’est systématique. La durée de sept années est légèrement variable, mais c’est une moyenne généralement respectée de manière naturelle chez tous les couples. Au bout de sept ans de vie de couple exclusive dans le sens pré-cité, et en termes d’informations, donc d’intérêt des deux partenaires, l’un envers l’autre (en principe les deux, même si on peut observer des variations entre l’un et l’autre en fonction des circonstances et de la richesse des informations intrinsèques à l’un ou l’autre), le couple est arrivé à épuisement.

Sans nouvelles informations à échanger, sans renouvellement de l’expérience personnelle en termes d’interrelations humaines, l’autre devient inintéressant, commun, vide de sens, et on se met naturellement à composer avec lui ou elle, habituellement par facilité, afin de concilier les deux existences en la compagnie de l’autre, une vie de couple qui ne ressemble plus à rien, où les relations sexuelles deviennent inexistantes (et oui, il n’y a, donc, plus rien à échanger). C’est à ce stade que l’un des deux partenaires, voire les deux, se mettent en quête d’un autre partenaire sexuel, que la tentation de l’infidélité s’installe vraiment dans la psyché du plus concerné des deux, voire dans celle des deux une fois encore. Pourquoi ? Pour le plaisir de s’envoyer en l’air ? Eh bien non en réalité. Juste pour pouvoir échanger de nouvelles informations.

On pourrait prendre cette vision pour un rabaissement de l’Humanité au degré d’évolution d’une machine, d’un vulgaire PC. Mais c’est en fait l’informatique qui a été conçue sur base des arcanes de la vie et de la méthodologie de dispersion de l’information sensible au sein des structures organisationnelles de la vie. On disait des informaticiens qu’ils étaient (et sont encore de fait) les « nouveaux magiciens ». En réalité, cette discipline a été créée à dessein par des individus extrêmement psychistes, et à ce titre, en tant qu’ésotéristes dotés en outre d’une vision mathématique de la réalité, ont recréé, en miniature, le principe même de la vie fondé sur l’échange d’informations, créant ainsi… l’informatique.

Nous vous reposons donc la question: que faites-vous pour être inclusif et donc permettre à votre couple de perdurer sereinement avec un quota d’informations nouvelles nécessaires à l’évolution, individuelle comme à celle du couple lui-même ?

Autre exemple :

Si une femme était un port marchand et un homme, un bateau...
Assez peu poétique, nous sommes d’accord, mais particulièrement éloquent quant à l’argument. Chaque bateau a un port d’attache, mais si ce bateau reste dans le port toute sa vie et interdit au port que d’autres bateaux puissent s’y amarrer pour y amener des marchandises, que se passe-t-il ? La stérilité. La décomposition dans la tristesse d’une solitude morose. Alors que si un échange d’informations se met en place, que le bateau va chercher des informations de temps en temps et que le port en reçoit également de nouvelles sources, le bateau principal et son port d’attache s’épanouissent ensemble. De plus, l’Humanité s’en voit par ailleurs grandit, car chaque échange d’informations permet un maillage solide et unifié entre chaque représentant du Règne Humain d’un Royaume Planétaire.

Au-delà des analogies portuaires, si l’un des deux partenaires légitimes d’un couple se sent irrémédiablement attiré par une tierce personne, non pas dans le cadre d’une attirance sentimentale ou pour combler un manque affectif, mais dans un contexte purement sexuel, il doit impérativement en parler à sa contrepartie afin de clarifier les choses. En effet, comme nous l’avons dit, sans un renouvellement d’informations, à terme, le couple est condamné, comme l’immense majorité des couples actuels le sont. Il est aisément compréhensible que dans l’état d’esprit actuel, relativement à la vision que tout un chacun a du couple où la fidélité sexuelle représente un impératif moralement honorable, mais concrètement stérilisant, l’idée d’une infidélité mutuellement consentie et acceptée pour le bien commun soit difficilement envisageable, une fois encore par conditionnement culturel d’une part, mais aussi et surtout consolidé par le réflexe d’appropriation de l’autre.

En effet…

Ma femme, mon mari, mon copain, ma copine = MA PROPRIÉTÉ PERSONNELLE.

Personne n’aime prêter à autrui ce qui lui appartient. Combien de fois entend-on dans la littérature ou le cinéma : « Je t’appartiens » de la part d’un homme ou d’une femme relativement à la personne qu’il ou qu’elle aime. « Je t’appartiens » passe beaucoup mieux que « tu m’appartiens », c’est plus beau, plus romantique, mais toujours aussi relatif à la notion d’appropriation. Ne dit-on pas : « Je ne suis plus libre » dû au fait que l’on est sentimentalement engagé·e envers quelqu’un. C’est un fait, mais le subconscient, lui, ne fait pas dans l’analyse sémantique du contexte. Il prend l’information brute sans traitement interprétatif. Pour lui, cette phrase signifie : « Je suis prisonnier » (sinon, je serais libre… Quelque part, ça tombe sous le sens).

Toutes ces phrases que l’on prononce dans l’inconscience de leur sens profond nous ensemence et ce n’est bien évidemment pas sans conséquences. Toujours est-il que lorsque ce besoin d’échange d’informations avec un autre partenaire sexuel se présente, c’est que pour l’entité que représente le couple, les informations que ce ou cette partenaire a à transmettre, lui sont essentielles. La raison n’intervient pas. Il s’agit d’un automatisme naturel, au-delà même de l’instinct. C’est purement fonctionnel et propre à l’identité « couple » représenté par l’engagement mutuellement sincère de deux individus de sexe différent, l’un envers l’autre, afin que perdure la possibilité de leur union selon la donne de départ, et qui plus est, de manière augmentée par rapport à cette base initiale.

Bien sûr, tout un chacun peut réfuter cette « thèse » (cette « théorie » dira-t-on pour employer un terme à la mode) du multipartisme sexuel, mais le fait est là et il est statistiquement attesté sans contestations possibles que les couples pratiquant l’échangisme sont plus épanouis et plus durables que les couples sexuellement fidèles. Alors, l’échangisme ne représente pas une solution au problème du caractère éphémère des couples légitimes, parce que c’est mal pensé, mal fait, incluant contextuellement nombre d’erreurs comportementales, et parce que le principe même de l’échangisme est pervers à la base. Néanmoins, cette imperfection effective de la méthode est tout de même moins préjudiciable à la notion de couple que la fidélité sexuelle, loin de là. Le fait est probant et l’incapacité à accepter l’évidence ne pourra jamais la remettre en question.

Il est un fait que la civilisation humaine traverse actuellement un changement paradigmatique majeur et que nombre de références propres au passé sont remises en question avant disparition à terme. La difficulté à l’accepter n’en est pas moins allégée. Néanmoins, que ce soit pour cette question ou une autre, d’ici à une, voire deux générations tout au plus, personne ne trouvera étrange cette nouvelle vision du monde dans la mesure où elle sera entrée dans les mœurs à tous égards. Maintenant, ce que vous ferez de cette information ne concerne que vous. Néanmoins, il s’agit d’une direction hors de laquelle l’Humanité n’aura aucune chance de subsister, et cela, pour quatre raisons.

  1. Ce principe d’échange d’informations est d’une puissance remarquable et représente un véritable téléchargement de données afin de mettre un couple à jour par rapport au référentiel de l’Humanité puisque chaque représentant de chaque couple est censé vivre ce genre d’événements à titre quinquennal au moins, si ce dernier veut pouvoir y survivre (à moins que le couple se sépare pour des raisons mutuellement et librement acceptées là aussi).
  2. Le maillage que représente, en quelques années seulement, la mise à exécution systématisée de ce moyen d’échange informationnel, va permettre une standardisation (puis son entretien) à l’échelle humaine globale d’une moyenne croissante (ou ascendante) du niveau de conscience qui lui est propre.
  3. Ce maillage est le seul moyen à la portée actuelle de l’Être Humain civilisé lui permettant d’ancrer et consolider son unité, autant entre les individus que, par voie de conséquences, entre les peuples, chacun étant alors fluidiquement ancré en l’autre, de proche en proche, uniformisant le niveau d’accès à la forme de conscience collective que prend en un instant T l’ensemble d’une Humanité. De ce seul fait, plus aucune incompréhension ne sera plus suffisamment majeure pour être le facteur déclenchant d’une relation conflictuelle au sein de l’Humanité, garantissant donc, une fois encore, son Unité intrinsèque, tant de manière factuelle qu’en tant que culture de la valeur qu’elle représente, en tant que point d’achoppement civilisationnel global.
  4. Seule l’Unité peut garantir la pérennité d’un monde en Âge de Diamant.

En pratique, que se passe-t-il alors ?

Lorsque se présente cette attirance, cette attraction, envers un partenaire sexuel autre que celui qui constitue le couple légitime, la première chose à faire est donc d’en parler ouvertement à sa contrepartie. Les deux partenaires légitimes doivent impérativement être d’accord sur cet état de fait. Aucune forme de cachotterie ne doit avoir lieu.

Si cette attirance est effectivement l’appel à un échange d’informations pour les deux partenaires concernés d’abord, entre les partenaires du couple légitime ensuite, les deux parties concernées doivent ressentir la même attraction l’une envers l’autre. En aucun cas cette attirance ne peut être unilatérale dans ce contexte. Si c’est le cas, c’est qu’elle est fondée sur une tout autre raison, qu’elle soit bonne ou mauvaise.

Si c’est possible, mais ça l’est factuellement assez rarement, on le comprendra aisément, la relation sexuelle qui doit avoir lieu, le devrait, en principe du moins, en présence du partenaire légitime qui n’est pas concerné. Donc en supposant qu’une femme ressente un désir sexuel partagé avec un homme de passage (ou connu depuis longtemps peu importe), le compagnon de cette femme devrait, a priori, pouvoir ne pas être loin de la scène afin de représenter un contrefort pour le couple qu’il représente, quitte éventuellement à participer aux ébats, sans pour autant que ce soit indispensable. Idem pour l’épouse de l’homme avec lequel elle doit avoir une relation sexuelle. Néanmoins, il vaut mieux éviter les rapports à quatre, à moins que l’attirance soit réellement effective et mutuelle entre les deux partenaires des deux couples concernés, ce qui est malgré tout très rare.

Ce type de relation est obligatoirement unique et n’est absolument pas censé être réitéré, si ce n’est, a minima, tous les cinq ans, mais rarissimement moins avec la même personne. Un tel apport extérieur d’informations étant relativement rare, en principe jamais supérieur à une fois par an et par partenaire d’un couple légitimement constitué. Après ledit rapport de passage, la tension est censée retomber complètement, restituant le ou la partenaire d’une seule fois à l’indifférence initiale.

Les erreurs à ne pas commettre

Ce principe d’échanges connaît des limites bien précises si tant est du moins que les partenaires légitimes tiennent effectivement à leur couple. Ces restrictions sont les suivantes.

  • En aucun cas les deux partenaires sexuels exceptionnels ne doivent s’embrasser langoureusement, faute de risquer de tisser des relations affectives, lesquelles iront fortement compromettre la stabilité du couple légitime.
  • En effet, si la fidélité sexuelle lui est préjudiciable, la fidélité affective est un impératif incontournable, et les baisers profonds la compromettent considérablement. La complicité dans le couple légitime est une nécessité absolue, et donc aussi l’honnêteté radicale entre les partenaires concernés, comme le fait de s’accorder, quoi qu’il advienne, la priorité absolue sur tout autre partenaire potentiel ou effectif.
  • Réitérer ce type de relation avec la même personne, sous quelque prétexte que ce soit, du moins avant que ce ne soient écoulés entre trois et cinq ans, alors qu’il sera extrêmement rare que la même personne de passage soit concernée plus d’une fois durant la durée de vie du couple. Cela étant, les durées entre deux expériences de ce type sont variables en fonction des individus concernés et des situations. Nous nous contentons de donner une base approximative de références pour éviter de verser dans l’objet de l’alinéa suivant.
  • Instrumentaliser le principe d’échange d’informations (somme toute exceptionnel, tout de même), pour tenter de justifier son éventuelle infidélité affective ou exprimer quelque paraphilie que ce soit. Une fois encore, ce principe repose sur l’honnêteté, non l’abus d’individus ou de situations.

Le saviez-vous ?

Étrange, improbable, incroyable… Pourtant, tant de choses nous sont inconnues. Nous surnageons sur une mer d’ignorance aussi profonde que l’océan. Il est temps de réapprendre ce que l’on nous a fait oublier.

Le sperme et la cyprine se consomment

Outre leur forte concentration en tout ce dont l'Être Humain a besoin en termes de nutriment, surtout concernant le sperme pour la femme (et pour elle uniquement, une légende raconte même qu'on peut ne vivre que "d'amour" et d'eau fraîche), ils contiennent l’identité énergétique propre à chaque personne qui produit l'un ou l'autre. La consommation des fluides permet donc un échange réciproque et colossal d’informations mutuellement profitables, venant puissamment consolider les liens qui unissent un couple. Plus de 80% des couples qui finissent par se désunir dû à une mésentente, dans les cas où l'un et l'autre sont incapables de se comprendre ou d'accéder facilement à la psyché de l'autre dû à la différence qui les sépare plutôt qu'à les complémentariser, resteraient unis de manière solide si la consommation de leurs sécrétions sexuelles réciproques était une habitude, au rythme d'une fois par semaine au strict minimum, sinon chaque jour dans le meilleur des cas.
Au demeurant, si le goût des sécrétions de son ou sa partenaire est désagréable, c'est que le couple est obligatoirement mal assorti, dans 100% des cas.

Éjaculer dans le vagin de votre partenaire est généralement "impoli"

À moins que votre partenaire féminine ne vous y invite expressément pour une raison qui ne concerne qu'elle a priori, ce sera du moins considéré comme effectivement "impoli" dans l'avenir proche. Imaginez que vous jetiez un seau d’eau par terre en arrivant chez quelqu’un qui vous a invité. En arrivant ou avant de repartir... Cette pratique n’est a priori utile que pour avoir des enfants. Dans tous les autres cas de figure, elle est inutile, stérile, et... impolie à certains égards qui deviendront vite évidents avec le temps.

Un piercing est un moyen de contraception efficace

C'est une simple méthode d'acupuncture, laquelle doit néanmoins être appliquée en permanence pour être efficace, d'où l'usage d'un piercing plutôt que d'une aiguille à retirer après usage. Le piercing doit être bien centré sur la partie haute du nombril, car il empêche alors la nidification. C'est la méthode la plus aisée, la moins chère et la plus sûre pour la femme (ça ne fonctionne que pour elle), d'une innocuité absolument parfaite, contrairement à la prise d'hormones de synthèse, lesquelles perturbent considérablement le fragile système endocrinien féminin, mais enrichit considérablement les laboratoires pharmaceutiques (un "léger" dégât collatéral pour de biens grandes plus-values). De plus, quel que soit le temps durant lequel le piercing est laissé en place, dès lors qu'il est retiré, la fécondité de la femme reprend immédiatement ses droits. Si 99% des modèles féminins de l'industrie de la pornographie en portent, ce n'est pas que pour la déco, ou les mêmes raisons que la plupart d'entre elles portent des tatouages.
L'argument contraceptif nous est souvent opposé par le déni farouche. Cela étant, imaginez la perte financière colossale pour l'industrie pharmaceutique si cette information venait à se généraliser. Néanmoins, nous avons des exemples probants et variés qui attestent l'efficacité de la méthode au quotidien, sans aucune marge d'erreur possible, mais à condition que le nombril soit bien percé au bon endroit, donc bien centré, et sur la partie haute. Les perforations sur les parties latérales ou inférieure du nombril ne fonctionnent pas. N'importe quel tatoueur y parvient à coup sûr. Inutile d'être médecin énergéticien pour trouver le bon emplacement.

Le polyamour n’est pas souhaitable

La fidélité affective est d'une importance primordiale dans un couple solide. En revanche, l’inclusivité sexuelle d’un couple le solidifie et permet à l’Humanité, de proche en proche, de renforcer sa cohésion. Il est néanmoins une erreur à ne pas commettre : embrasser (langoureusement) un·e partenaire de passage. Les conséquences affectives qui découlent de cette pratique finissent par fissurer le couple légitime.

Le SIDA n'existe pas

Il s'agit d'une "invention" du Docteur Anthony Fauci, immunologue américain, mais NAZI de conviction profonde, quasiment considéré comme un héros national bien évidemment, et imposé à tous les Présidents des États-Unis depuis un demi-siècle. Aucune mise en évidence du virus du SIDA n'a JAMAIS pu être possible, hormis par les laboratoires étasuniens dont le travail est attesté par l'Organisation Mondiale de la Santé, gouvernée par les Banques Centrales comme toutes institutions internationales.
L'objectif de cette mascarade, parmi d'autres, était de fortement contraindre, par la peur, les partenaires sexuels au port des préservatifs afin de les isoler vibratoirement, évitant ainsi tout risque de création intempestive de leur part, consciemment ou non. Il s'agit ni plus ni moins d'une vaste opération de stérilisation psychique de la race humaine.

Un couple assorti a des organes génitaux de la même taille complémentaire

Aucun homme n'est ni trop grand, ni trop petit pour sa partenaire, ni aucune femme trop ou pas assez profonde pour le sien, s'ils sont mutuellement idéaux. La nature a simplement fait les choses de manière parfaite à ce niveau comme à tous les autres.
Attention cependant, certaines ethnies sont reconnues pour leurs caractéristiques propres à ce niveau, dû à une évolution sur le long terme, en marge de celle d'autres ethnies desquelles elles sont restées éloignées durant suffisamment de temps pour que des différences apparaissent. Il ne s'agit donc pas de prétendre que deux partenaires d'ethnie différentes et marquées mutuellement par ces différences de taille, puissent ne pas être complémentaires affectivement ou sexuellement. Nous parlons bien ici d'individus ethniquement identiques ou ayant de fortes similitudes, et donc génétiquement issus de conditions d'évolution plus ou moins similaires elles aussi.

Un couple assorti ne crée pas d’odeur tierce à l'occasion d'un rapport sexuel

Chaque individu a son odeur sexuelle propre, laquelle est constituée d'une constante et d'une variable. La constante est celle de sa polarité, commune à tous les représentants de sa propre polarité. La variable est celle qui est unique et personnelle à chaque individu, qui qu'il soit. Néanmoins, lorsque deux partenaires parfaitement assortis sexuellement ont un rapport, aucune odeur tierce ne peut être constatée, ni par eux-mêmes, ni par quelqu'un d'extérieur et qui entrerait dans la pièce. En revanche, lorsque le couple est mal assorti, que ce soit sexuellement ou affectivement, même psychologiquement ou émotionnellement, peu importe, les identités énergétiques véhiculées par les hormones exocrines exhalées par les corps entrant en interaction à l'occasion d'un rapport sexuel, entrent en conflit sur ce qui les oppose, et génère alors, pour cette raison, une odeur tierce qui peut aller jusqu'à être très désagréable pour l'un ou l'autre, voire les deux partenaires concernés... et leur entourage éventuel, quand bien même le modus operandi de leur vie de couple les satisferait mutuellement, du moins dans un premier temps.

Qu'il nous soit permis d'ouvrir une parenthèse au sujet du satanisme

Le satanisme a pour crédo : "Fais ce que tu veux", du moins selon Anton Szandor LaVey, fondateur de l'Église de Satan et auteur de la "bible satanique". Il s'agit là, en résumé, d'une invitation à faire n'importe quoi n'importe comment, sans se soucier des conséquences pour quiconque, pas davantage pour soi-même que, surtout, pour autrui. Qu'en est-il vraiment ? Eh bien, comme son iconographie le laisse envisager aisément, c'est en réalité une incitation, aussi, à un retour à l'animalité, à perdre l'acquis de ce qui fait la caractéristique de l'Humanité et de ses valeurs, pour retourner sur une échelle inférieure de l'évolution. C'est une invitation adressée aux gens du peuple afin d'attirer les recrues, si tant est qu'il ait été nécessaire de beaucoup insister à ce propos, l'engouement pour le satanisme étant assez universel.

Entre autres actes commis sans retenue au mépris des conséquences, il y a les pratiques sexuelles les plus déviantes possibles, comme la zoophilie, la nécrophilie, la pédophilie, extrêmement répandue pour sa part, que les institutions, européennes notamment, ont tenté de légaliser, mais ayant manqué de temps pour ce faire. Cependant, outre le fait qu'il existe pléthore de mouvements se réclamant du satanisme, assortis de différences parfois énormes entre la psychologie des uns et des autres et pas tous criminels au sens légal du terme, le véritable fondement des pratiques sexuelles d'orientation sataniste est une simple mise en adéquation avec l'énergie qui a la faveur de cette influence, quelle qu'en soit la déclinaison, à savoir l'énergie tellurique. Énergie lourde, naturellement violente, car infiniment puissante. Ces gens veulent le pouvoir. Ils savent que lui sont intimement associés le sexe et l'argent. Parce que l'argent permet d'acquérir le pouvoir, et parce que cette acquisition est permise par le même moyen permettant de tout acquérir, à savoir l'énergie tellurique. Et en l'Être Humain, quelle énergie le permet en abondance ? L'énergie sexuelle. En outre, qui dit argent dit aussi prospérité (du moins une déclinaison déterminante dans le monde encore actuel), et qui dit prospérité, dit énergie de la Terre, donc tellurique, une fois encore.

On se retrouve donc à ce jour avec une "sexualité" dévoyée, laquelle est pervertie du fait même de son usage par des esprits pervers qui en attirent d'autres, et qui repoussent obligatoirement les esprits les plus vertueux. Ces derniers considèrent le "sexe" comme quelque chose de sale, avec raison sous cette forme. Ils s'éloignent donc de l'influence sataniste pour se laisser glisser dans l'illusion doucereuse d'une sexualité "mystico-gélatineuse" et sans s'en être aperçus, ils se sont, soit enlisés dans l'influence enjôleuse de la vitrine du luciférisme, soit versent dans l'abstinence mal vécue, laquelle va créer des tensions puis des refoulements obligatoirement malsains à terme. Une autre alternative est représentée par une sexualité vide de sens, hygiénique, in fine masturbatoire et décevante, faisant perdre le sens de l'essentiel à ce propos, dont les palliatifs proposés par la société actuelle sont la pornographie ou la prostitution.

En d'autres termes, la "sexualité créatrice" a longtemps été la chasse gardée des ésotéristes franchement déviants, et donc est restée tenue éloignée de "l'Humanité lambda", bien qu'il s'agisse de son héritage en tant que sa capacité intrinsèque de création.

Dernière mise à jour le 2024-11-04
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