Bonnes habitudes quotidiennes et hygiène de vie
Depuis l’enfance, nous sommes habitués à entretenir notre hygiène du corps : se laver, se doucher, prendre un bain, se laver les mains avant le repas, les dents après, etc. Il est question ici d’élargir l’horizon : de l’hygiène du corps vers l’hygiène de vie.
L’hygiène du corps est multiple. En prendre soin en le lavant quotidiennement, mais pas uniquement. Ce soin peut indirectement lui être apportée par l’alimentation, le choix de produits frais, naturels, vitaminés, ou encore des boissons fermentées comme l’Élixir de Kargasok. Par les activités physiques, le sport, les arts martiaux, la respiration, le yoga, la danse, les joies de la plage ou de la montagne, les soins extérieurs qui sont susceptibles de lui être apportés de différentes manières, comme le massage, la réflexothérapie ou de toute autre manière lui apportant bienfaits et réconfort. Pourtant, tous ces traitements peuvent être grandement optimisés par la conscience que l’on y met. Celle appliquée à notre façon de nous nourrir.
En termes de contre-exemple, on pourrait citer le fait d’avaler nos aliments sans y penser, en se divertissant, en regardant la télévision ou des vidéos. « Manger ou ne pas manger de ce pain-là », « tout avaler », « trouver cela indigeste », « se faire manger tout cru » : autant de métaphores autour de l’ingestion de nourriture, qui nous fait glisser vers le lien esprit et corps. Manger de bon cœur, avec plaisir et appétit, est aussi important que ce qu’il y a dans l’assiette, à en lire les diététiciens. Notre esprit est lié à ce que mange notre corps et inversement. On devient ce que l’on mange, dit-on. Manger avec des personnes qui parlent de sujets lourds ou écœurants, et l’ambiance du repas nous affecte immédiatement. On connaissait déjà la notion de « somatisation », l’influence de l’esprit sur le corps, et ce jeune sujet d’études appelé « MBI » (Mind Body Training).
La pharmacologiste américaine Candace Pert est connue pour ses études sur le rôle des neuropeptides, messagers chimiques des sentiments et des pensées à travers le corps humain, qualifiés de molécules de l’émotion. Elle démontre l’influence des émotions sur la somatisation : ce sont nos émotions et leurs composants biologiques qui établissent le lien crucial entre l’esprit et le corps (la science parle de neurotransmetteurs ; nous parlons de « psychotransmetteurs »). Ses découvertes complètent les techniques existantes en offrant une nouvelle compréhension scientifique du pouvoir de notre esprit et de nos sentiments à affecter notre santé et notre bien-être.
On se doutait qu’il existât une interaction intime entre les notions de corps « physique » et « subtils » ou « corps d’énergie », depuis le célèbre « un esprit sain dans un corps sain [1] » devenu un classique (d’où le grand intérêt de la mise en pratique quotidienne du RINIK, dont la lettre « N » qui le compose signifie « nettoyage », en l’occurrence desdits « corps d’énergie », pour compléter celui du corps physique). L’hygiène n’est pas la santé, mais un moyen de la conserver. Les bonnes habitudes quotidiennes dépassent alors la matérialité. Bouger, oui, mais pas seulement pour éliminer les graisses. Trouver son poids idéal, sa souplesse, son niveau idéal d’énergie, la beauté de son visage, nettoyer les traits tirés, prendre conscience des émotions dites négatives, voire des croyances limitantes, ou accepter l’influence de l’esprit sur notre corps ou nos comportements. Il nous est donné de trouver une hygiène de vie qui impacte positivement chaque moment où chaque aspect de notre existence.
Faire du muscle pour du muscle ou « tailler la taille » pour séduire, ne nous enferme-t-il pas dans une image réductrice de nous-mêmes ? N’y a-t-il pas, éventuellement, plus digne d’intérêt qu’attirer l’attention sur son apparence ? Dans ce cas, l’hygiène de vie envahit notre soin du corps, mais aussi notre soin de l’esprit. Si nos pensées et nos émotions affectent le corps, pour le meilleur et pour le pire, peut-on imaginer un instant qu’à l’instar de se laver les dents pour une bonne haleine, nous nettoyions nos pensées, même les plus secrètes ? La pollution s’y trouve aussi et nous affecte tôt ou tard. Une hygiène de vie nous renvoie à nous-même et nous conduit, de fait, à l’introspection, la méditation pourquoi pas, et à nettoyer notre intérieur, car, si quelqu’un peut nous aider à nettoyer notre corps, nous seuls voyons notre intérieur, notre jardin caché.
Laver l’esprit, et le corps sera propre. On dit que les saints meurent « en odeur de sainteté ». Ils disposeraient alors de cette brosse à dents intérieure pour dégager cette bonne odeur légendaire. L’hygiène de vie inclut alors autant le corps que l’esprit et par des habitudes quotidiennes. Encore faut-il trouver cette brosse à dent intérieure, car il existe beaucoup de techniques aux rayons marketing du « mystico-gélatineux ». Cependant, on reconnaît l’arbre à ses fruits et la technique à ses résultats. L’hygiène peut donc devenir un dépassement de soi, aider à devenir ou redevenir créateur, ne fut-ce que par le fait de trouver sa technique de nettoyage propre (dans tous les sens du terme).
Nous avons mis à disposition un outil de nettoyage puissant, pratiqué et optimisé depuis presque 40 ans et qui a donc fait ses preuves, issu de la tradition Archimagistérale. Il s’agit du RINIK (Rituel de Nettoyage de l’Inconscient et du Karma). Cette pratique d’hygiène au quotidien, « vide », en quelque sorte, notre poubelle psychique personnelle, permettant ainsi de ne pas venir alimenter celle, bien plus vaste, de l’Humanité, qui a grandement besoin de s’en voir alléger autant que possible.
En japonais, il existe le mot « Ikigaï » (生き甲斐) qui signifie littéralement: « la vie (Iki) qui en vaut la peine (kaï) », ou aussi « joie de vivre » et « raison d’être ». C’est tout ce que de bonnes habitudes quotidiennes et d’hygiène de vie peuvent nous apporter.