Le Combat Orthodol
Nous entrons dans un nouveau paradigme au cœur de l’Âge de Diamant Orthodol. Ce nouvel Âge marque la fin d’une époque conflictuelle et dualistique pour ouvrir ses portes à une autre approche de la Vie dans la notion d’Unité et de complémentarité des apparents opposés.
Pourtant, le combat y a toute sa place, car si l’effort fait les forts, c’est le combat qui permet de vaincre ses propres limitations et de se dépasser en permanence.
Le combat repose sur une dynamique naturelle, hors de tout principe conflictuel et il est nécessaire au principe d’évolution parce que cette même dynamique pousse à l’amélioration constante et fluide de celui qui la maîtrise correctement, ce qui est un des principes de base d’une civilisation authentiquement évoluée.
Sous un angle, efforts et combat sonnent la même note.
Le plus beau combat est celui que l’on mène avec soi-même, pour sa propre évolution
Bruce Lee
Un combat présent est une victoire à venir, un apprentissage et un dépassement de la ligne d’horizon. Le combat nécessite de la stabilité, de la Force et de la volonté. Le combat Orthodol est un exemple de Noblesse et de Droiture.
L'Adishaloriss
L’entrée en Action dans la Droiture Orthodole
Le combat Orthodol fait voler en éclat les possibilités de stagnation et d’enlisement dans les situations présentes, même idéales, car s’enliser dans un idéal qui n’évolue pas revient à vivre dans une illusion mortifère. Il existe une base dans la notion de combat, commune aux arts martiaux, aux disciplines comme le yoga et aux sports en général, tout comme au principe même de l’apprentissage, quel qu’en soit le cadre : la maîtrise de soi.
Pensées, paroles, actions : les trois modes d’expression de base
au travers desquels doit s’exercer la véritable et authentique maîtrise de soi.
À ces bases, nous ajoutons ce qui suit.
L'exemplarité
Une dimension essentielle qui accompagne cette quête de maîtrise réside dans l’importance de se présenter en modèle exemplaire pour autrui. Il est impérieux de maintenir une hygiène irréprochable, non seulement par égard pour soi-même, mais également par respect envers ceux qui nous entourent. La propreté et le soin apporté à sa personne constituent une forme de politesse élémentaire à l’égard de la société. Ainsi, une coiffure élégante et des dents entretenues sont autant de marques d’attention qui rendent les interactions humaines plus plaisantes. De même, une tenue vestimentaire sobre, mais soignée, loin des excès ostentatoires, inspire à son tour une certaine dignité chez les autres, les encourageant à adopter des attitudes tout aussi respectueuses.
Par ailleurs, Une personne empreinte de joie diffuse une énergie positive qui irradie son entourage. Cette attitude, loin de se limiter à l’individu, a pour effet d’édifier un environnement propice à l’harmonie sociale, incitant autrui à adopter cette même joie de vivre. La joie, en ce sens, ne se contente pas d’attirer, elle a le pouvoir de transformer, d’élever ceux qui en sont témoins.
Il convient de souligner que l’apparence extérieure ne suffit pas à elle seule. Le soin apporté à l’intérieur de notre être revêt une importance égale, sinon supérieure. Par ailleurs, ce qui concourt aussi à l’argument précédent, cultiver une disposition joyeuse et bienveillante est un acte qui transcende le simple paraître.
Les Trois Forces
Pour aller plus loin...
Page : "La Force". Surtout à partir du paragraphe "Contexte Archimagistéral", corroborant et précisant contextuellement les éléments susmentionnés.
Les Cinq Piliers de la Perfection
- Il est indispensable de nourrir la volonté de mener ce combat, d’aspirer véritablement à ce dépassement. Sans ce désir initial, aucun progrès ne saurait être réalisé.
- Il convient de fournir un effort soutenu en ce sens, ce qui, somme toute, parait relever de l’évidence.
- Il est impératif d’être sincère, tant dans la volonté que dans l’effort. Il s’agit d’être AUTHENTIQUE dans cette démarche, sans faux-semblants ni compromis.
- Il faut renoncer à toute attente de résultat. Ce détachement vous préservera de la frustration ou du découragement face à l’absence apparente de progrès. En effet, le véritable cheminement ne réside pas dans l’atteinte d’objectifs visibles, mais dans la constance de l’effort.
- Enfin, quelle que soit l’issue des événements, rappelez-vous que rien n’est jamais vraiment grave. Apprenez à rire de vous-même, à manifester une certaine légèreté, tant dans vos réussites que dans vos erreurs ou vos échecs.
Aucun combat n’est aussi passionnant que celui sur soi-même, car l’adversaire n’est pas à vaincre, mais à maîtriser.
Auteur inconnu