Nouvelles structures sociétales

Qui dit nouveau paradigme sociétal (entre autres), dit aussi nouvelle organisation. Si l’on ne peut réellement faire du nouveau avec de l’ancien, il convient donc de tout abandonner au passé et de recommencer à neuf. Le régime de la « démocratie » ayant structuré la civilisation de laquelle nous sortons de manière à correspondre à ses propres valeurs, lesquelles vont précisément à l’opposé de celles sur lesquelles est fondée la nouvelle société humaine, il est évident que le mode de gestion des ressources et des populations, autant que les organes en permettant l’exécution, seront explicitement différents de ceux qui ont été connus jusqu’à ce jour, dans le fond comme dans la forme, dans la manière comme dans les moyens, relativement aussi à leurs conditions d’accès et leur mode de gestion, et enfin aussi quant à leurs diverses dénominations.

Tous ces changements vont demander un temps d’adaptation certain. La plupart des individus en ce monde expriment, a minima, une forme d’impatience quant à la prise en relai de l’ancienne civilisation multinationale par la nouvelle, les libérant de l’oppression et d’une forme certaine de servitude, du moins ressentie comme telle par beaucoup d’entre eux. Néanmoins, la plupart s’attendent à ce que les choses soient entièrement différentes, mais sans que leurs habitudes en soient perturbées, ce qui n’est évidemment pas possible. On ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre. On ne peut changer un paradigme et se retrouver dans un monde équivalent à celui que l’on quitte, mais sans ce que l’on y appréciait le moins, tout en conservant un peu de ce que l’on appréciait le plus.

Il faut être réaliste et admettre qu’un tel changement de civilisation va induire des réformes telles que les résultats pourront se comparer au fait de changer de planète pour une autre. En un demi-siècle, le visage de la surface de ce monde sera méconnaissable par rapport à ce qu’il est encore aujourd’hui.

Les diverses institutions auront disparu, jusqu’à ce nom lui-même. Les « organisations internationales » ou « mondiales » diverses et variées également, telles l’ONU, l’OCDE, l’OTAN, l’OMS, l’OMC, l’UNICEF et toutes les autres qui relèvent du même type de régime, lesquelles ne représentent que des façades, employant des millions de personnes de par le monde pour, en définitive, ne servir à rien. Pêle-mêle, les divers « ministères », « républiques », « chambres », qu’elles soient des députés ou des Représentants, les banques centrales, les banques tout court, en somme, tout, absolument tout ce qui constitue encore plus ou moins le quotidien de chaque individu en ce monde, qu’il y soit confronté ou non, aura définitivement cessé d’exister.

Un modèle sociétal équitable et proche des individus, entièrement repensé de la base au sommet, sera substitué à tout ce qui est encore actuellement connu, jusqu’au nombre de jours de la semaine, ou de mois dans l’année, ainsi que leurs noms respectifs. Au sens quasiment propre du terme, sans pour autant quitter le sol de cette planète, tout un chacun, sans exception, va prochainement être amené de devoir vivre sur une autre planète (laquelle changera de nom également, pour adopter celui de « Terremère », associé au nom de celle qui en est la conscience : Gaïa), avec des règles différentes qui ne privilégient que le Vivant (minéraux, eh oui, végétaux, animaux et Humains), et des structures qui seront propres au nouveau paradigme. Tout cela interviendra à la chute des nations politiques et des gouvernements en rapport, symboles de l’échec de la démocratie, pour laisser place à une autre forme de gouvernance qui ne sera ni capitaliste ni communiste, ni une démocratie ni une dictature. En somme, qui ne ressemblera en rien à ce que quiconque ait jamais connu : l’Apolytocratie.

En somme, l’Apolytocratie n’est plus le (soi-disant) pouvoir au peuple par l’intermédiaire d’élus corruptibles appliquant une lobbycratie, mais le pouvoir laissé à « l’Absolu » (au travers de la forme de l’Empire-Sérith Bleu-Nuit et la mise en application par ses soins des lois naturelles, des règles du bon sens et des bornes d’admissibilité destinées à garantir à chacun son espace souverain de liberté), afin que ce pouvoir soit exercé de manière incorruptible (forcément), permettant à l’Être Humain de s’auto-organiser lui-même selon des fondamentaux éthiques et responsables, à même d’explorer, à titre individuel, pour chacun sans exception, comme à titre collectif, tous les chemins possibles de son accomplissement, compris, donc, entre les balises l’empêchant de retomber dans les pièges d’une voie minée, menant à la perdition d’un monde tel que cette planète et le Vivant en général l’a vécue, jusqu’à la limite de l’autodestruction de laquelle elle a été épargnée de justesse.

Si vous souhaitez prendre connaissance des détails actuellement disponibles relatifs à l’organisation sociétale de la nouvelle civilisation humaine en Apolytocratie, nous vous invitons à vous rendre sur le site de l’Archimagisterium à la page qui y est consacrée.

Dernière mise à jour le 2024-11-08
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