L'élixir de Kargasok

La plupart d’entre vous connaissent sans doute déjà ce véritable miracle de la nature qu’est cet élixir, mais sous un autre nom, celui de « Kombucha » (parmi la plus d’une vingtaine de noms qui lui sont attribués), beaucoup plus répandu aujourd’hui qu’au jour de la rédaction initiale de cette rubrique.

Très honnêtement, cette recette fait partie des grands enseignements de la « magie naturelle », même si elle est aujourd’hui amplement « récupérée » par le mercantilisme, au détriment des esprits les plus éclairés en matière de nutrition à vocation curative, au point que l’on trouve original de parler de « kombucha artisanal ». Un comble.

Cette préparation n’est ni plus ni moins que de l’extrait liquide de Vie ! Et nous pesons nos mots. En réalité, cet « élixir » compte parmi l’excellence de l’alchimie alimentaire.

C’est pourquoi il est classé dans les « dossiers » de la « magie naturelle », car outre ses propriétés curatives officiellement constatées que nous listerons un peu plus bas dans les grandes lignes, l’élixir de Kargasok en a d’autres encore moins académiques et certes non des moindres, et proprement ésotériques, au sens étymologique du terme. L’élément qui permet d’obtenir cet élixir est un champignon, nommé arbitrairement « Fongus (combucha) » ; le terme « fongus » signifiant tout simplement « champignon ». C’est lui, l’usine miraculeuse, qui va transformer les ingrédients de la recette en élixir, par leur lactofermentation.

Nous vous ferons grâce des détails historiques propres à l’usage de cet élixir, de la Russie à la Chine, depuis des millénaires. Nous allons nous concentrer sur les aspects les plus essentiels de la question, à savoir les aspects curatifs d’une part, puis plus occultes d’autre part, les deux étant intimement liés comme nous allons le voir.

L’élixir de Kargasok s’est tout spécialement distingué dans la prévention autant que dans les thérapeutiques liées aux diverses affections du Cancer, et de plus en plus également du SIDA (en fait de toutes les affections dites « auto-immunes » comme les moins graves d’entre elles tel le Lupus par exemple, dont l’une des particularités ésotériques est d’être des « maladies karmiques »).

Pourquoi l'appeler encore du nom de cet élixir plutôt que simplement "combucha" ?

Parce que, si son mode de préparation est sensiblement le même que les recettes que vous trouverez un peu partout sur le net ou en librairie, il n’en reste pas moins un breuvage qui, comme nous l’avons laissé entendre, se confectionne, du moins dans l’idéal, avec l’esprit dans lequel le préparerait lui-même un alchimiste : avec une conscience très particulière à laquelle se trouve être extrêmement sensible le champignon qui en est à l’origine. Disons, pour faire simple, que le liquide produit commercialement, ou même « artisanalement » donc, est du kombucha, alors que la même préparation, confectionnée avec la conscience de l’œuvre entreprise et la considération pour le vivant qui intervient dans le processus, en feront de l’élixir de Kargasok. Parce que si son goût demeurera inchangé (quoique…), en termes d’énergie, son identité et ses bienfaits ne ressembleront en rien à ce qu’obtiendront des machines, ou des intervenants inconscients de ce qu’il est en train de se produire au moment de sa confection. Et ça, c’est mesurable.

En outre, l’élixir de Kargasok, composé particulièrement complexe, est une source d’énergie vitale en soi, de même nature que l’énergie vitale humaine. Il stimule puissamment celle du corps et vivifie l’aura et les corps subtils, et en plus, ce qui est rarissime dans la nature, il élève le taux vibratoire de l’organisme (empêchant en cela la prolifération des maladies dégénératives*), du corps éthérique (induisant une restructuration et régénération tissulaires) et du corps astral (recharge et renforcement du corps émotionnel permettant un moral plus solide et l’éradication facilitée des idées noires).

Tel est l’Elixir de Kargasok.

Maladies dégénératives

Maladie d'Alzheimer, cancer, diabète, arthrite rhumatoïde, lupus systémique, maladie de Crohn, maladie de Hashimoto, sclérose en plaques, les maladies cardiovasculaires en général, l’ostéo-arthrite, l’ostéoporose, etc.

Les bienfaits

Voici quelques exemples des autres affections contre lesquelles l’usage de l’élixir a été reconnu comme fondamentalement actif :
  • Mélanome aux yeux
  • Tumeur de la glande thyroïde
  • Tumeur du cerveau
  • Maladies graves du bas-ventre
  • Troubles gastriques et intestinaux
  • Troubles pulmonaires
  • Migraines (causes a priori non décelées)
  • Raideurs articulaires
  • Carence en kératine (cheveux, ongles, peau…)
  • Dépigmentation capillaire (cause intestinale)
  • Allergies
  • Goutte
  • Hyper ou hypotension
  • Cholestérol
  • Rétention d’eau
  • Nodosités rhumatismales
  • Troubles de la concentration
  • Asthme
  • Diabète (attention à la préparation qui, dans ce cas, doit impliquer l’absolue totalité de la transformation du sucre, quitte à ce qu’il soit moins gouteux au palais)
  • Myome
  • Tension artérielle et/ou oculaire
  • Régulation pondérale
  • Sécrétions des muqueuses de la gorge
  • Urémie
  • Arthrose grave, et il y en a (beaucoup) d’autres.
En fait, l’élixir de Kargasok nettoie le sang, améliore le fonctionnement du foie, de la vésicule biliaire, et de la digestion en général, facilite grandement le traitement des sidéens* et séropositifs dû à la puissance de sa stimulation et de son renforcement du système immunitaire entre autres, ainsi que des cancéreux (étant un très puissant anti-carcinogène – très probablement le meilleur qui soit, malgré l’extraordinaire multiplicité des possibilités thérapeutiques radicales à l’encontre de cette maladie), diminue la souffrance dans la dépression. Il est puissamment tonique et recèle des propriétés tout aussi puissamment désaltérantes.
SIDA

Nous souhaitons rappeler que le virus du SIDA n'existe pas. Il n'a JAMAIS été mis en évidence malgré les prétentions opposées. En revanche, il est concrètement une invention (parmi d'autres) du "docteur" Anthony Fauci et de ses services, médecin et NAZI convaincu ayant été employé par "l'État profond" étasunien jusque très récemment.

Il y aurait beaucoup de choses à dire concernant l’interaction directe de ces propriétés avec les caractéristiques karmiques des maladies en rapport, ainsi qu’avec la grande difficulté avec laquelle les grands malades parfois consentent, lorsqu’ils veulent bien l’accepter, ce qui est relativement rare d’ailleurs, à prendre effectivement cette inoffensive et agréable boisson, même sans leur révéler ses propriétés quasiment miraculeuses ! Mais, cela serait quelque peu hors sujet, tout ne pouvant être ainsi traité ici.

Mode de confection

Ingrédients

Proportions données pour à peu près 2 litres de préparation (0.53 gallon américain environ). Il est néanmoins conseillé de les multiplier par 5 afin d’obtenir 10 litres de boisson (2.64 gallons), du moins une fois passé la première période d’accoutumance à son ingestion qui, au départ, doit se consommer à faible dose, durant une semaine à peu près. Ainsi, tant pour les personnes seules que pour les consommateurs débutants, une base sur deux litres sera idéale, lesquelles proportions seront aisées à passer à un facteur multiplicateur quelconque en fonction des besoins.

La liste ci-dessous fait état des ingrédients en proportions idéales pour une préparation strictement conforme au standard parfait de notre boisson dans sa confection idéale. Des aménagements sont néanmoins possibles.

  • Thé noir non parfumé (3 cuillerées à café, entre 2 et 4 pour un résultat plus ou moins corsé).
  • Thé vert, marque « Gunpowder » recommandée, disponible partout (même remarque).
  • 2 litres (0.53 gallon américain) d’eau de source (même en bouteille) ou d’eau du robinet à condition qu’elle ne soit pas chlorée et surtout qu’elle ait été filtrée dans des carafes (ou des dispositifs adaptés aux robinets) prévues spécialement à cet effet (avec filtres du type « Brita » par exemple).
  • 160 gr. de sucre blanc (5.64 Oz – 0.352 lb)
  • 1 culture de fongus Kombucha bien active (si vous bloquez à ce stade, consultez les différentes façons de démarrer une culture ci-dessous).
  • 200 ml de vinaigre de cidre si vous n’avez pas déjà sous la main un peu d’élixir à ajouter à la préparation en tant qu’amorce. Si vous en disposez en effet, préférez alors ces 200 ml d’ancien élixir (dans tous les cas 10% en plus du volume préparé de liquide).
Remarques importantes

On peut parfaitement tenter l’expérience avec un seul des deux types de thés. La saveur sera différente, mais l’élixir en sera tout aussi réussi et ses propriétés bienfaisantes lui seront conservées sans aucun problème. Notre préférence va néanmoins, indubitablement, au mélange des deux, mais cette appréciation est strictement personnelle.

Le thé, pour les personnes qui ne le supporteraient pas, bien que la transformation de la théine soit totale, peut être substitué par les plantes ci-dessous listées (d’autres sont également utilisables à condition qu’elles ne contiennent pas ou extrêmement peu d’huiles essentielles). Nous vous recommandons néanmoins la substitution du thé dans le seul cas où vous souhaiteriez expérimenter d’autres goûts. Pour un résultat thérapeutique optimal, optez malgré tout pour le thé.

  • Feuilles de framboisier
  • Aubépine
  • Valériane
  • Ortie brûlante (celle qui pique quand on la touche)
  • Pissenlit
  • Sureau
  • Feuilles de fraisier
  • Feuilles de mûrier
  • Achillée millefeuille (par exception, même si elle contient une huile essentielle, ce qui donnera un élixir « typiquement féminin » selon les propriétés mêmes de l’achillée, ce qui n’empêche nullement les hommes d’en consommer en quantité importante)
En revanche, à éviter absolument* :
  • Aneth
  • Angélique
  • Armoise (pourtant plante « magique » par excellence)
  • Bergamote
  • Camomille
  • Cumin
  • Estragon
  • Fenouil
  • Lavande
  • Livèche
  • Marjolaine
  • Menthe en général et menthe poivrée en particulier
  • Romarin
  • Thym
  • et globalement toutes plantes aromatiques et fortement odoriférantes
A éviter

Nous avons constaté avec grande surprise que la réalisation d’un élixir à base de thé au jasmin était possible. Pourtant, le jasmin compte une grande proportion d’huile essentielle qui lui est propre et lui confère son parfum et son arôme exceptionnel, alors que tout composé de ce genre est censé être quasiment mortel pour le fongus. Or, cette préparation (à seule base de thé vert parfumé au jasmin, donc sans adjonction de plante, fraîche ou sèche, ni et encore moins d'huile essentielle), a donné naissance au plus extraordinaire élixir qu’il nous ait été donné de goûter, naturellement aromatisé… au jasmin, ce qui est officiellement réputé être impossible. Sachez donc que les limites de l’impossible sont perpétuellement repoussées, non en tant que frontières, mais en tant qu’horizons ! Nous vous donnons ici les  éléments académiques et les recommandations d’usage, mais rien ne vous empêche d'expérimenter et de sortir des cadres

Attention néanmoins, par expérience, nous savons que le résultat d’un élixir créé à partir d’une autre plante que le thé, génère différents effets difficiles à quantifier, car chaque fois différent en fonction de la plante choisie. À titre d’exemple, alors qu’une préparation à base de thés vert et noir (par défaut répartis en proportions de 50/50) combat la goutte, les différentes arthrites et les états inflammatoires, une préparation à base d’infusion de feuilles de frêne a priori la favoriserait pourtant (alors que cette plante est réputée combattre la goutte lorsqu’elle est ingérée en infusion non sucrée), cela malgré un arôme en revanche très agréable, mais assortie d’une saveur fortement sucrée dont il est difficile de venir à bout, même avec un temps d’action beaucoup plus long laissé au fongus. Donc si vous préparez de l’élixir de Kargasok à vocation thérapeutique, nous ne saurions trop vous conseiller, une fois encore et pardonnez notre insistance à ce propos, de vous en tenir à la recette originale à base de thé·s.

Pour ceux qui ont la chance de posséder un puits, cette eau sera providentielle (à condition qu’elle ne soit pas trop calcaire, sinon filtrez-la comme l’eau du robinet. Elle n’en perdra son caractère extraordinaire par rapport aux eaux « commerciales » ou de ville). Une eau de pluie ne conviendra malheureusement pas en revanche, pollution oblige. Si vous parvenez à « récolter » et conserver, puis exploiter à cet effet, de la rosée, votre élixir vaudra de l’or au vu de la puissance de son rayonnement vibratoire, et représentera en outre une véritable « bombe de santé » pour quiconque le consommera. À réserver néanmoins et exclusivement à deux catégories d’individus. D’une part, à ceux qui sont en excellente santé et souhaitent le rester. D’autre part, aux mourants qui n’ont plus rien à perdre hormis la vie. La raison en est très simple. Le différentiel entre la saturation énergétique de ce super-élixir et la qualité énergétique de son consommateur. Elle peut réveiller un mort, mais aussi créer un choc toxique dû à une évacuation trop rapide de toxines, et donc un réflexe de rejet de la part d’un organisme trop saturé de déchets, lesquels vont transiter par l’organisme en trop grande proportion avant « évacuation d’urgence » dirons-nous. Souvenons-nous que « puissance » doit rimer avec responsabilité, vigilance et discernement !

N’utilisez surtout pas d’instruments métalliques !

Prévoyez un grand saladier, une soupière, ou tout récipient propre à large ouverture, pouvant contenir très aisément deux litres de liquide. Pour 10 litres de préparation, un seau en plastique conviendra très bien. Attention cependant à en prévoir un dont la matière plastique soit susceptible de contenir des denrées alimentaires. Renseignez-vous si nécessaire, mais éviter le vrai seau de chantier breveté !

Préparation et conservation

  • Faites bouillir 0,5 litre (0.13 gallon américain) d’eau prélevée sur les deux litres prévus.
  • Faites infuser les thés ou les plantes durant 10 minutes à un quart d’heure (notre préférence allant largement à 15 minutes, mais chacun adaptera le temps d’infusion selon la propre appréciation du résultat).
  • Retirer les plantes, la ou les pinces à thé ou les sachets de thé·s. Vous devez obtenir une infusion la plus claire possible si vous avez mis à infuser des plantes ou du thé en vrac. À ce stade, la présence de métal n’est pas gênante, car c’est au contact du champignon que les métaux doivent être évités absolument.
  • Faites dissoudre très correctement le sucre dans l’infusion. Il ne doit plus en rester le moindre cristal.
  • Ajoutez-y le 1,5 litre (0.4 gallon) d’eau restant afin de diluer l’infusion sucrée ainsi obtenue. Ce « bouillon matriciel » doit, en effet, être amené à température ambiante.
  • Ajoutez-y encore soit le vinaigre de cidre (200 ml, soit 0.053 gallon), soit l’élixir si vous en avez déjà fait précédemment, ou si l’on vous en a procuré.
  • Ajoutez enfin le fongus. S’il sort du réfrigérateur, il faut le laisser se réchauffer à la température ambiante, jusqu’à ce que le bouillon et le fongus soient en fait à la même température. Tout choc thermique étant fortement préjudiciable au champignon, donc à l’élixir lui-même.

En effet, souvenez-vous que votre fongus est un être vivant (c’est un collectif très complexe, mais sans conscience propre, si ce n’est fondée sur la somme des parcelles de consciences relatives aux différentes formes de vie très basiques qui le constituent, mycélium, levures, etc., mais… « tant qu’il y a de la vie, il y a de la conscience »). Souvenez-vous aussi qu’à ce titre, et aussi grotesque que cette idée puisse vous paraître, il mérite que lui soit témoigné du respect et de l’attention, surtout par rapport à ce qu’il vous apporte gratuitement, du travail qu’il fourni,t et finalement de l’état d’esprit dans lequel cette préparation doit être réalisée. Il s’agit de l’une des plus nobles potions que comptent les livres de la « naturgie » (ladite « magie naturelle »).

Certains préconisent d’étendre le champignon à la surface du liquide. Cependant, notre propre expérience nous a prouvé qu’il n’était en rien nécessaire de s’ennuyer avec une telle tentative visant à déplier le champignon, souvent vaine d’ailleurs, et qui conduit la plupart du temps à le déchirer. Déposez-le délicatement tel quel au fond du récipient choisi sans vous en soucier, et il donnera d’aussi bons résultats dans 100% des cas.

  • Recouvrez le récipient contenant l’infusion sucrée et le champignon d’un linge fin en coton, de façon à laisser l’air circuler entre la surface du liquide et l’extérieur, mais surtout sans que le tissu touche la surface du liquide, ceci est impératif au succès de l’opération. Vous pouvez utiliser un torchon pour essuyer la vaisselle, mais attention à l’assouplisseur utilisé dans l’eau de rinçage de son dernier lavage. S’il est synthétique et fortement parfumé, le torchon lui-même pourrait nuire au succès de l’opération.
  • Placez la soupière ainsi recouverte entre cinq et sept jours, impérativement dans les conditions suivantes :
  • À l’abri de la lumière, naturelle ou artificielle.
  • À l’abri de la poussière (le linge est un peu là pour ça).
  • À la chaleur, entre 23°C et 28°C si possible, avec 5°C de marge en plus ou en moins et au maximum (entre 73°F et 82°F, avec plus ou moins 40°F de marge).
  • À l’abri de toute fumée, surtout celle de tabac, mais également celle d’encens.
  • À l’abri de l’humidité (tout humide soit le champignon…).
Dès le cinquième jour complet de fermentation, le récipient doit dégager, même au travers du linge, une légère odeur acidulée, vaguement vinaigrée. Quoi qu’il en soit, surveillez votre préparation à partir de ce jour-là, voire à partir du troisième si le lieu dans lequel il est entreposé n’est pas forcément frais, et d’autant plus si la température ambiante est relativement élevée. Il est même recommandé de la goutter. Quoi qu’il en soit, en principe du moins, une peau doit intégralement recouvrir la surface du liquide et doit être suffisamment épaisse pour pouvoir éventuellement être saisie entre les doigts. Si elle n’existe pas encore ou si elle est trop fine, inutile de la goutter, elle n’est pas prête, SAUF si vous utilisez un champignon trop âgé (resté très longtemps au réfrigérateur par exemple). Dans ce cas, il opérera la transformation du thé sucré, mais ne sera pas assez robuste pour se reproduire. Les détails spécifiques relatifs à l’usage de champignons très faibles sont donnés en fin de page. Sinon, soulevez cette pellicule (c’est le nouveau fongus formé par l’action de l’ancien) et plongez dans le liquide une cuiller en bois ou en plastique, ou tout autre matériau, toujours, donc, en évitant le métal. Le goût doit correspondre à l’odeur décrite, mais sans contenir aucune saveur sucrée, bien que pouvant être douce sur la langue ! Si la boisson est nettement sucrée, la préparation n’est pas terminée, tout le sucre n’ayant pas été transformé. Entre le cinquième et le septième jour, elle doit être prête (notez qu’il nous est arrivé de devoir laisser une préparation un mois entier suite à la réutilisation d’un fongus resté inactif durant plusieurs années, mais c’est une durée vraiment exceptionnelle). Son goût doit donc être acidulé, quelque peu vinaigré, mais doux sur la langue, néanmoins non sucré, c’est important. Le liquide peut être légèrement pétillant, et avoir vaguement le goût de cidre brut, si du moins c’est du thé qui a été utilisé.

Votre préparation est donc prête à consommer. À ce moment-là, saisissez délicatement la pellicule à conserver soigneusement pour les préparations futures, et déposez-la au fond d’un bocal dans lequel vous verserez entre 200 et 300 ml (0.053 et 0.079 gallon) de l’élixir obtenu dans lequel pourra tremper le champignon le temps que vous le remettiez à contribution, et placez ensuite le bocal bien fermé dans un endroit sombre et frais jusqu’à la prochaine fabrication. Le stockage au réfrigérateur n’est requis que si vous devez laisser vos champignons au repos durant plusieurs mois. Le fongus peut rester ainsi « engourdi » au réfrigérateur et dans son propre milieu nourricier entre trois et six mois, mais en pratique durant même un ou deux ans. Pourtant, il se conservera tout aussi bien hors d’un milieu froid, à température ambiante, si vous le nourrissez de temps à autre d’un peu de sucre blanc, mais attention, il aura tendance à vouloir aller visiter ce qui se trouve hors de sa boîte. Pensez donc à très correctement la refermer si vous ne voulez pas qu’il se rejoue « les évasions célèbres » et grimpe les parois de votre armoire par exemple (cas authentiquement constaté, pas à vitesse humaine bien sûr, mais tout de même).

En revanche, évitez absolument le congélateur, ou même le freezer de votre réfrigérateur.

Vous pouvez ensuite, soit jeter l’ancien champignon puisqu’il vous en aura produit un nouveau (l’ancien aura pris une teinte plus brunâtre et une texture plus épaisse et opaque), soit le conserver pour qu’il aide le « petit nouveau » à se renforcer dans ses premières entreprises de transmutation du thé et du sucre. Personnellement, nous préférons largement, soit les conserver, soit les donner si nous en avons l’occasion, ou le stocker, quitte à ce qu’il finisse par mourir ainsi, endormi dans le froid. L’idée de le jeter comme un vulgaire mouchoir sale après avoir dûment – et bravement – servi la cause de notre santé, nous indisposant beaucoup. Cependant, il vaut toujours mieux avoir un ou plusieurs fongus de secours au cas où le ou les nouveaux auraient un problème.

Filtrez le reste de la préparation afin de séparer les diverses levures qui ont pu se former au fond du récipient, de manière à obtenir un liquide bien clair, relativement translucide ou au contraire légèrement trouble selon les cas (témoignant de la présence de levures, lesquelles, à terme, donneront un nouveau fongus), de couleur jaune orangé, et que vous entreposerez donc selon votre préférence, généralement au réfrigérateur pour éviter que l’élixir ne s’acidifie trop rapidement et ne devienne imbuvable, mais quoi qu’il en soit à l’abri de la lumière si possible. Quant au champignon lui même, vous pourrez immédiatement démarrer une nouvelle production, en le stocker, dans cette attente, dans sa boîte en plastique bien fermée, soit à température ambiante (le plastique, élément synthétique extrêmement « Yin », n’est ici en aucun cas gênant pour la nature du champignon), soit au réfrigérateur, mais toujours et impérativement à l’abri de la lumière. Ainsi, n’en produisez pas énormément plus que vous ne pouvez ou voulez en consommer. La méthode de filtrage la plus efficace et la moins contraignante à notre estimation est de passer le liquide au travers d’une gaze médicale assez épaisse.

Consommation

Nous vous le rappelons une nouvelle fois, la différence entre les qualités énergétiques de l’élixir et la faiblesse énergétique des viscères soumis à une alimentation catastrophique et caractéristiquement destructrice (précisément dite « biocidique »), peut causer des chocs digestifs lors des premières prises. C’est la raison pour laquelle il est recommandé de procéder ainsi :

  • Trois semaines de prise de l’élixir, en alternance avec une semaine de pose.
  • Au cours de la toute première semaine, ou lors d’une reprise d’élixir après plusieurs semaines d’arrêt, ne consommer qu’un demi verre à moutarde le matin à jeun.
  • En « rythme de croisière », un grand verre à eau d’élixir avant les trois repas.

Il n’existe AUCUNE contre-indication, ni prouvée ni même jamais constatée, quant à la consommation d’élixir de Kargasok, QUELLE QU’EN SOIT LA QUANTITÉ. Même les personnes souffrant de diabète grave peuvent en consommer sans problème à condition que la préparation n’ait aucune saveur sucrée, signe que le sucre s’est alors TOTALEMENT transformé au cours de la fermentation. Le simple bon sens veut cependant que dans ce cas pathologique précis, la consommation d’élixir soit suivie par un médecin compétent et éclairé si possible, ou qu’elle lui soit au moins signalée.

Il n’existe pas non plus de quantité maximum d’élixir à consommer par jour. Ronald Reagan, ancien Président des États-Unis, a guéri son cancer de la peau suite à la consommation de presque deux litres par jour sans aucune autre intervention médicale ou pharmaceutique.

Remarque

Vous trouverez sur Internet des articles selon lesquels certains médecins et « experts » déconseillent toute consommation de kombucha au-delà de quelque 350 millilitres par jour. Vous êtes entièrement libres à ce sujet. Nous nous contentons simplement de transmettre notre expérience personnelle de la question, laquelle s’appuie autant sur le bon sens que sur une pratique traditionnelle multimillénaire. Néanmoins, souvenez-vous juste de l’état du monde dans lequel l’ont amené les divers « experts », alors que fuir la « malbouffe » est officiellement considéré comme une maladie mentale (l’orthorexie), en plus d’être le signe probant d’une dérive sectaire…

Que chacun fasse librement ses choix en son âme et conscience.

À noter

Même les animaux domestiques peuvent en consommer sans aucun problème. Le fongus, le champignon responsable de la transformation des ingrédients de base en élixir, n’est bien sûr pas toxique. Même si la nature n’a rien prévu pour le rendre spécialement appétissant, il peut néanmoins être mangé, aussi bien par les humains que les animaux (dans ce cas, son action est au moins dix fois supérieure à celle de l’élixir qu’il produit). Sa consommation est donc recommandée en cas de traitement d’attaque, mais là encore, à condition d’être déjà en train de boire de l’élixir (évitez de commencer par l’ingestion du champignon). Préférez plutôt une cure de la boisson à laquelle vous pourrez additionner la consommation du fongus si vous le souhaitez. Envisagez, dans ce cas, un rendement important, car il faut du Fongus pour la boisson, outre celle de sa consommation directe. Les animaux, pour leur part, peuvent manger le fongus sans qu’ils aient eu besoin de boire préalablement son élixir.

Les différentes façons de démarrer une production d’élixir

Qui dit production d’élixir, dit « élevage » ou du moins « culture » de fongus (puisque c’est leur multiplication dans leur milieu nourricier qui génère l’élixir). Toute la difficulté revient à commencer cette culture parce qu’a priori, un tel fongus ne se trouve pas dans toutes les armoires.

Il existe donc plusieurs possibilités à un nouveau producteur d’élixir pour se trouver en possession d’un agent biologique fongique à même de créer ce précieux liquide de vie.

On peut trouver dans les bonnes boutiques d’alimentation biologique ou diététique, des fongus déshydratés qu’il va falloir réactiver. Reportez-vous à cet effet au dernier paragraphe de cette page.

La méthode qui suit demande de la patience (un peu) mais elle peut être très intéressante à mettre en place, car vous en serez l’artisan à 100%, et donc autonome à tous points de vue dans la fabrication de l’Elixir de Kargasok, et puis, parce qu’elle ne vous demande rien, ou presque. Vérifiez que vous n’auriez pas oublié au fond de votre cuisine une vieille bouteille de vinaigre de cidre, c’est mieux si elle est entamée (officiellement du vinaigre de vin, mais après un test d’une année entière, rien ne s’est produit, alors que le vinaigre de cidre ne demande que ça pour ainsi dire, mais ni vinaigre blanc, ni balsamique, ni aux épices, ni à quoi que ce soit d’autre, encore que le vinaigre au miel en produise souvent sans problème). Si vous parvenez à en dénicher dans vos placards, il y a de fortes chances que vous constatiez au fond de celle-ci une sorte de dépôt épais et compact, d’apparence a priori gélatineuse, un peu comme un voile. Dans ce cas, bravo, vous avez trouvé un fongus. Il s’agit en réalité d’une « mère de vinaigre » (et donc aussi « grand-mère » de l’élixir du Kargasok). Bien sûr, la mère de vinaigre n’est pas exactement ce qu’il nous faut puisque ce champignon-là est né d’autre chose que de l’élixir qu’il produit, mais il va le devenir, l’un et l’autre étant cousins très proches et heureusement pour nous, parfaitement compatibles quant à leurs milieux de vie respectifs. Si vous n’avez pas une telle bouteille de vinaigre enfouie chez vous, il ne vous reste qu’à en acheter une (qu’il vous faudra donc OUVRIR et « oublier » quelque temps). L’introduction d’air dans la bouteille est essentielle à la formation ultérieure d’un champignon. Quelques petites semaines tout au plus devraient largement suffire.

Quoi qu’il en soit, sortez délicatement le fongus de son vinaigre et procédez précisément comme pour la réactivation du fongus déshydraté (voir ci-dessous).

NB : le mieux sera de jeter les deux premières productions d’élixir réalisées avec la mère de vinaigre. Lorsqu’elle est soumise aux conditions propres à la production de notre liquide "magique" (eau, thé, sucre, etc.), la mère de vinaigre devient un fongus, et cela assez rapidement. À partir de la troisième production, votre mère de vinaigre sera devenue un fongus de kombucha et ce qu’il aura produit pourra être consommé sans problème, avec une qualité optimale à partir de la quatrième production.

Il y a aussi la méthode la plus simple techniquement, c’est-à-dire de vous procurer un beau fongus chez quelqu’un qui en produit lui-même et qui vous offrira un rejeton. Attention, en tout état de cause, si la personne en question est éloignée géographiquement de vous, il sera normal qu’elle vous demande de la dédommager de ses frais postaux, mais pas davantage. Il existe (en principe encore d’actualité) une sorte de réseau de quelques personnes qui connaissent cette recette et qui se proposent, pour certaines d’entre elles, de donner des fongus à celles et ceux qui souhaitent commencer une production d’élixir ou une culture de fongus afin de pouvoir en fournir eux-mêmes à ceux qui pourraient en vouloir pour les mêmes raisons (effectuer une telle recherche pour dénicher un forum de producteurs amateurs devrait, en principe, être fructueux – ou alors, passez une petite annonce gratuite dans votre région par exemple, ce genre de contacts peut conduire en plus à créer de nouvelles amitiés sur base de quelque chose de particulièrement sain). Cependant, nous vous déconseillons de répondre par l’affirmative à quiconque vous proposerait de les vendre. Certains petits malins pourraient souhaiter se faire un peu d’argent de poche avec ça, mais leur démarche ne peut être que malhonnête (un peu comme vous vendre contre monnaie sonnante et trébuchante, la copie amateur de quelque chose de gratuit). Après bien sûr, c’est selon votre propre entendement.

À noter qu’un visiteur du site a eu la gentillesse de nous signaler que des souches de fongus se vendaient un prix dérisoire chez Price Minister. Le lien initial est désormais redirigé vers le shopping en ligne de Rakuten. Quelques particuliers vendent des souches bien vivantes. Ça va donc à l’encontre de notre conseil exprimé précédemment. Cependant, le prix est détaillé sous l’article et le fongus peut, pour ceux qui habiterait à proximité, retirer le champignon gratuitement à demeure chez le « vendeur ». Si cette alternative vous convient, cliquez sur l’image ci-dessous pour vous rendre sur leur site. D’autres vendeurs du même produit sont parfois suggérés sous l’annonce elle-même.

Une simple recherche sur Internet vous permettra assurément de vous en procurer, où que vous résidiez.

Image mise à jour le 2024-11-09 (tarif de 3,80 € à 3,50 €)

Le saviez-vous ?

La consommation régulière et à vie d’élixir de Kargasok, dans les conditions prescrites de préparation et autres, allonge la vie de l’être humain de 20% à 60% en moyenne, en fonction des individus, de leur âge, de l’âge auquel cette consommation aura débuté et de leur hygiène de vie !

C’était la boisson sacrée réservée aux empereurs de la Chine antique, avant la démocratisation de sa consommation dans des temps moins reculés.

Paracelse, ainsi que Nicolas Flamel, les célèbres alchimistes, en connaissaient parfaitement les attributs et en maîtrisaient la fabrication et l’utilisation. Elle constituait aussi une part du capital des connaissances gnostiques secrètes de certaines sociétés comme celle des Illuminati (ce n’est pas une référence bien reluisante, a priori du moins, mais c’est pourtant le cas, et eux, ne se sont jamais privés du meilleur du nec plus ultra).

Il se peut qu’il arrive à votre fongus de moisir. Ne le jetez surtout pas, il n’en est ni moins efficace, ni malade et encore bien moins mort évidemment (il se sentait peut-être un peu seul, mais rien de plus). Dans ce cas, lavez-le simplement, mais impérativement au jus de citron. Il reprendra toute sa vigueur.

Conditions de préparation de l’élixir au moyen d’un champignon plus faible que la moyenne

Si vous deviez opérer avec un vieux champignon de plus de six mois, donc peut-être particulièrement faible, ou à l’aide d’un champignon déshydraté que vous pouvez vous procurer en boutiques diététiques ou d’alimentation biologique, il est possible qu’il parvienne à vous créer de l’élixir, mais sans pourtant se reproduire lui-même. Dans ce cas, ne jetez surtout pas votre champignon, mais conservez ce qu’il vous aura produit, même s’il n’est pas bon à boire (texture trop sirupeuse, âpreté prononcée, peu importe), en tant qu’amorce pour la fois prochaine.

Il faudra pour cela le soumettre à plusieurs cycles de fermentation et de reproduction (en principe trois devraient suffire), mais sans consommer l’élixir produit (ses qualités à ce stade étant d’une totale médiocrité. Seule la régénération du champignon présente alors un intérêt lors de cette opération renouvelée, donc, entre deux et quatre fois). Attention, afin de lui donner immédiatement les meilleures chances de réveil, doublez la dose de thés (thés vert et noir et non pas de plantes à tisanes) et celle de sucre (toujours impérativement blanc, ni roux, ni complet. Ça peut être du fructose si vous voulez, mais il faut qu’il soit blanc, donc impérativement raffiné), pour le doper dans son travail alchimique de synthèse de l’élixir. Laissez-le également dans son bain « hyper-vitaminé » jusqu’à deux semaines s’il le faut et bien sûr au chaud (température ambiante). Vous allez ainsi créer un mélange très corsé, mettant en quelque sorte votre fongus « sous perfusion » ! Après les quelques jours requis, s’il a produit un nouveau fongus bien solide à la surface du liquide, conservez l’ancien par sécurité et refaite la même chose avec le nouveau, et toujours le double de thés et de sucre, et ainsi de suite jusqu’à trois fois. En revanche, s’il n’a produit qu’une fine pellicule à la surface, qu’il vous est impossible de saisir entre les doigts, même si le liquide n’est plus sucré, mais qu’il a cette petite aigreur caractéristique, réutilisez alors votre fongus réhydraté et offrez-lui un nouveau bain dans les mêmes conditions. Après ce traitement spécial, le fongus doit être parti pour durer et vous fournir de l’élixir d’excellente qualité (chez lui, bien plus encore que chez nous : « le travail, c’est la santé », la sienne en l’occurrence, mais la vôtre au final aussi).

Il n’est pas impossible que vous ne parveniez pas à le ranimer (le thé sucré reste du thé sucré, sans changement de couleur, de goût et de saveur). Si l’électrochoc liquide que vous lui avez concocté n’a pas suffi à le ranimer, c’est qu’il est mort (a priori, pour finir, l’odeur viendra également vous le confirmer assurément). Il ne vous reste alors plus qu’à vous fendre une nouvelle fois de la somme que le premier vous aura coûtée (si vous n’en avez pas conservés d’autre au cas où) afin d’en acheter un nouveau (ce genre d’incident arrive assez rarement). Sinon, utilisez l’une des autres méthodes. Donnez-lui quand même une chance jusqu’à une vingtaine de jours. Passé ce délai, et s’il ne s’est rien passé, c’est qu’il ne se passera plus rien avec ce champignon-là.

Dernière mise à jour le 2024-11-09
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