Effacement de votre karma : le RiNIK

L’Humanité n’a qu’un seul et unique avenir et il dépend du choix de chacun d’accepter la transformation, en renonçant à l’attachement viscéral au karma (le poids du passé, essentiellement), car si la loi du karma a cessé de s’appliquer depuis 1986, il reste le stock personnel résiduel… continuellement recréé !

Rituel de Nettoyage de l'Inconscient et du Karma (v.3.0.3)

Le défi à relever

Brider le potentiel actif du karma résiduel afin d’éviter que ne se déclenchent les événements involutifs de l’existence (entre autres « mauvaise étoile », malchance, pensées ou émotions obsessionnelles, fatalisme et pessimisme, etc.), afin d’éviter que le double karmique pleinement conscient de sa nature et de la vôtre, ne puisse s’allier à d’autres doubles permettant de créer des situations collectives désastreuses, et afin de contribuer à l’allègement karmique global, via son propre allègement.

Le RiNIK permet l’allègement de votre karma personnel et collectif contenu dans les trois zones subtiles de l’être humain:

  • vos chakras, où sont enregistrées les mémoires inconscientes qui vous enchaînent à votre passé et vous reprogramment afin de vous conduire à reproduire en permanence les mêmes erreurs,
  • les sphères s’étageant au-dessus de votre tête et contenant la mémoire réincarnationnelle des faits passés,
  • le double sous-plantaire, poubelle psychique auto-consciente où fermente l’énergie de toutes les actions, pensées, intentions, émotions et paroles négatives émises depuis des millénaires. Le double cherche vos points faibles dans la bibliothèque des sphères et des chakras afin de vous pousser vers l’autodestruction.

La conscience autonome du double sous-plantaire vous connaît par cœur, comme si elle vous avait fait. Quant à vous, qu’en connaissiez-vous jusqu’à présent? La confrontation n’est-elle pas quelque peu inégale? Et pour la conscience de ce double négatif de vous-même, c’est vaincre ou mourir. Qu’en est-il pour vous à son égard?

La valeur du temps

Cette méthode a quarante années et des milliers d’individus ayant besoin d’un potentiel libératoire fort l’ont mis en pratique. Certains l’ont arrêté par trop de complaisance à l’égard de leurs ombres intérieures, d’autres ont perduré et témoignent des bienfaits hors du commun de la méthode. Certains proposent des solutions censés obtenir le même résultat (allègement de la sphère karmique personnelle), mais nul ne connaît le principe actif de création et de gestion karmique, et moins encore la conscience sous-plantaire qui agit dans le sens de la destruction de tout avenir et de tout espoir de la part de tout individu manifestant quelque velléité de libération de cet enchaînement intérieur.

Une simple question d'hygiène

Le « rituel » (parce qu’il est toujours le même) se pratique tous les jours de sa vie, au moment de son choix, et prend une vingtaine de minutes à exécuter. La question souvent posée est « pourquoi ne s’arrête-t-on pas une fois que c’est propre? ». Connaissez-vous quoi que ce soit qui reste propre éternellement? Le corps physique, ça se nettoie, les dents, les oreilles, les pieds et tout le reste. Mais une fois propre, ne faut-il pour autant jamais recommencer? Le nettoyage de l’espace sous-plantaire, des sphères du double aérien et les chakras se nettoient également, et si négliger de se laver correctement ne va pas faire se lever une conscience qui va prendre le contrôle de votre vie, le double sous-plantaire et ce qui y est connecté, si! Combien de gens sont propres sur eux mais sont d’une puanteur intérieure innommable, de vrais gants dans lesquels n’importe quelle main peut se glisser pour avoir accès à ceux qui les entourent?! L’hygiène est un paramètre fondamental d’une existence.

Le résultat à en attendre

Outre le fait qu’il vaille toujours bien mieux ne rien attendre de précis de la part de rien, une action est malgré tout menée dans un but précis. Si on se douche, c’est pour être propre. Simple mais efficace. Concernant le RiNIK et son exécution quotidienne, vous privez non seulement le double de la matière première qui lui est nécessaire pour prendre clairement l’ascendant sur votre vie à votre place, mais vous avez de quoi l’enchaîner, lui, afin de regagner votre liberté à vous.

Vous allez éliminer en vous les failles que ceux qui vous veulent du mal (consciemment ou non) essaient d’utiliser pour tisser un lien malsain avec vous et vous influencer, vous gardant prisonnier·e de la haine, de la jalousie, de la peur, du ressentiment, ou de la culpabilité, comme de tous les sentiments qui minent votre vie. Si personne ne peut s’accrocher à votre double sous-plantaire, nul ne pourra vous influencer karmiquement non plus depuis l’extérieur, donc non plus vous nuire, tout simplement. Pour qu’il y ait conflit ou plus, il faut être au moins deux. Être conflictuel tout seul avec soi-même n’enclenche rien. Ça mine juste la vie de celui qui vit ainsi, en recherche de qui pourra bien entrer en conflit avec lui. En nettoyant votre double, vous avortez toute tentative de la part d’autrui d’agir efficacement sur vous et de vous embarquer, souvent à votre insu, dans sa logique conflictuelle.

Votre mise à exécution de ce rituel, ce depuis la version 3, contribuera de même au nettoyage sommaire du potentiel sous-plantaire nuisible de tous ceux qui ignorent son existence. Votre action ne concerne donc pas uniquement que vous à titre personnel et exclusif, mais contribue aussi, réellement, tangiblement et dans les faits, à l’allègement karmique du monde, gommant en outre chez autrui la possibilité de tenter une accroche à votre propre double. En somme, vous faîtes dès lors d’une pierre trois coups, de la prévention au sens large face au potentiel de dispersion des contaminations comportementales créant aliénation et souffrance pour tous.

Le principe opératif

Le RiNIK permet de juguler l’action du double sous-plantaire, de geler le stock de karma résiduel non-encore activé et de limiter son action sur votre inconscient mais aussi ses possibilités d’ententes karmiques néfastes avec les doubles sous-plantaires d’autres personnes (les « coalitions de doubles »).

Le karma, énergie bien que sans cesse transmutée, renaît pourtant en permanence des actes, des pensées, des émotions, des sentiments éprouvés. C’est pourquoi il doit sans cesse être nettoyé.

Le simple et traditionnel son « OM » constitue la base du travail du RiNIK. La portée de ce son a été plusieurs fois centuplée ces dernières années, jusqu’à déployer une puissance colossale lorsqu’il est entonné en conscience.

Il suffit simplement de suivre la suite logique de ce programme. Il est simple, réalisable par tous, et immédiatement efficace par un désamorçage de l’action karmique perverse.

Le RiNIK a été pensé à l'usage de tous

Le RiNIK est un outil de pratique individuel conçu pour vous, qui que vous soyez, quelle que soit votre situation, votre vie, votre histoire, belle ou laide à votre goût, votre sexe, votre âge, votre condition, vos capacités, vos connaissances, etc. Quoi que vous fassiez, où que vous en soyez, d’où que vous veniez et quels que soient vos objectifs, quelle que soit votre situation actuelle, et de quoi qu’il vous faille vous remettre.

Le prix de la méthode

Tout a un prix. Le RiNIK a le sien: l’effort et l’endurance dans l’effort. Il ne vous en coûtera jamais rien d’autre. Une gratuité (financière) lui sera toujours assurée à titre inconditionnel.

Témoignages

Tantôt spontanés, tantôt à notre demande si les concernés le voulaient bien, voici les témoignages authentiques et sincères de ceux qui ont souhaité nous les confier.

NB : pour stopper le carrousel et lire les témoignages, positionnez la souris sur le texte.

Il n’y a qu’un seul meilleur moment pour agir;
le même meilleur moment pour tous,
d’ailleurs le seul qui existe vraiment :

MAINTENANT !

Offrez-vous le plus beau cadeau qu'on puisse vous faire, mais que nul autre que vous ne pourra jamais vous offrir:

celui de vivre libre !

7047

Personnes au moins l'ont pratiqué

Chiffres mis à jour le 5 août 2024

38

années de pratique

Depuis 1986

FAQ - questions fréquemment posées

Non absolument pas. C’est un peu comme les médicaments. Ce n’est pas parce qu’on en prend plus que prévu qu’on guérira plus vite. Ce qui prime en tout état de cause c’est la régularité dans la pratique, et la conscience qu’on y place. Souvenez-vous que le « mieux » est l’ennemi du « bien », et que la voie du milieu restera éternellement la meilleure possible, donc ni trop ni trop peu. Faire juste et sans excès est une réelle garantie de succès.

S’il vous est impossible de pratiquer le rituel un jour, ce n’est pas si grave, et pour autant que les circonstances exceptionnelles ne deviennent pas une coutume, ne pas pratiquer le rituel pour une raison qui vous semble sincèrement valable ne signifie pas que vous le stoppiez pour autant. Cependant, nous attirons votre attention sur le fait que le mental (exprimant la conscience des doubles) trouvera toujours une bonne raison pour vous inciter à abandonner. Alors, ici c’est en fonction de votre force intérieure et de votre capacité à rester maître de vos décisions. Cela étant dit, si vous pouvez éviter les coupures/excuses, faites-le autant que possible. Les gens qui pratiquent le rituel depuis un certain temps sont toutes d’accord sur le fait qu’arrêter c’est « jouer avec le feu ». Nous souhaiterions aussi souligner le caractère sournois et fallacieux du double, à un point que l’on imagine difficilement. Gardez en tête que si vous avez découvert son existence depuis peu, lui en revanche vous connaît depuis l’aube de votre âme, et connaît vos faiblesses par cœur… A méditer.

Il n’y a pas de critère de temps standard dans les pratiques initiatiques car seul votre propre rythme devrait déterminer la durée du temps horloge que vous y consacrerez et il y a tant de facteurs différents qui entrent en ligne de compte qu’il n’est pas possible de donner une norme de référence. C’est vraiment chacun selon son rythme dans ce domaine (bien qu’au début la même pratique puisse vous demander un peu plus de temps par manque d’habitude). Faîtes confiance au plan prévu pour vous, et l’efficacité de votre démarche fera toute la différence et rendra votre dynamique parfaite. Il n’y a pas d’heure favorable non plus. Cependant, sachez que si vous pratiquez chaque jour à la même heure, cela va vous inclure dans une dynamique de régularité qui va faciliter votre travail par induction rituelle (vous en aurez l’habitude et le mental se pliera plus facilement à cette habitude). Néanmoins ne vous laissez surtout pas tenter à en faire « un rien » en plus. C’est un piège qui vous conduira à l’arrêt. Faîtes ce qu’il y a à faire, sans tensions et quand c’est terminé, eh bien arrêtez-vous. Ne faîtes surtout pas de zèle, c’est impératif.

Tout au contraire. Le mantra OM AH HUM ALALA OH étant parmi les plus libératoires qui soient, et dénué de toute forme possible d’incidence négative, vous pouvez bien sûr et tout naturellement l’entretenir en le faisant ainsi tourner intérieurement. Le « OM AH HUM ALALA OH » peut donc, en effet, être répété en ascèse. A cet effet, je vous recommanderais autant que possible de noter le nombre de ses répétitions. Il serait en effet dommage de les « perdre ». Il ne s’agit pas là d’un accroc à la recommandation du détachement auquel j’invite tous celles et ceux qui s’engagent d’une manière ou d’une autre dans un travail spirituel, mais il s’agit d’une invitation à l’ancrage en vous de ces énergies par le simple fait de noter (physiquement, sur une feuille ou tout autre support matériel) le compte de vos répétitions (si possible, et si vous le souhaitez bien entendu). Le fait de les répéter sans les noter fait vibrer votre aura de l’énergie en rapport, mais simplement n’ancre pas en vous le bénéfice de ces répétitions. En effet, ce bénéfice n’est pas constitué de l’énergie du mantra lui-même qui ne vous est pas destinée (puisque sa répétition est désintéressée à titre personnel, donc sans but « égoïste »). Ce bénéfice vient directement du fait de votre acceptation que son rayonnement puisse passer par vous… en acceptant de le répéter, ce qui le rend véritablement libératoire sur tous les plans. Idem pour la répétition de tous les autres mantras d’Âge de Diamant qui sont à vocation individuellement ou collectivement évolutive.

Il n’y a AUCUN problème. Le fait que le lieu de projection astrale du double soit localisé dans l’espace dans la région sous-plantaire sous l’effet de prisme de l’incarnation, est sans rapport direct avec les pieds en tant que membres. Vous pouvez leur faire ce que vous avez à faire absolument sans risques.

Permettez-nous de répondre par une autre question: « Comment se fait-il qu’il faille se brosser les dents jusqu’à la fin de ses jours, n’y a-t-il pas un moment (disons quelques années) où les dents sont totalement propres et la plaque dentaire totalement détruite? »

RIEN AU MONDE de ce qui n’est pas entretenu, ne persiste longtemps sans retomber de façon systématique à son état précédent. C’est l’explication même de toutes les tâches répétitives: le ménage, se nourrir, l’arrachage des mauvaises herbes du jardin, le battement du cœur, la vie elle-même. La Vie est un éternel recommencement luttant contre le désordre et le chaos, et donc aussi contre les forces d’involution, seule raison pour laquelle l’évolution représente un combat permanent; seule raison pour laquelle le concept de « repos éternel » est en soi une abomination malgré les apparences. Certains s’effraient devant la perspective de devoir réaliser ce rituel quotidiennement à vie et pourtant se lever TOUS les matins, se laver TOUS les jours, sortir les poubelles plusieurs fois TOUTES les semaines etc., ne les effraie pas. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit là d’un conditionnement. On sait que la vie est ainsi faite et on finit même par ne plus y penser quelque part. Nettoyer ses profondeurs karmiques doit devenir ainsi, du moins dans la perspective de cesser d’être esclave de forces qui nous échappent et mènent notre propre vie par le bout du nez et à notre détriment.

Bien sûr, c’est tout-à-fait possible, et rien ne saurait être « dangereux » quant à l’exécution de ce rituel. Il est parfois difficilement possible de respecter à la lettre les prescriptions données quant aux conditions idéales d’exécution. La règle n°1, une fois la décision prise de mettre le RiNIK à exécution, est de l’exécuter en effet et quotidiennement. La règle n°2 est de l’exécuter dans les meilleures conditions possibles compte tenu de vos possibilités. Il n’y a pas de valeur absolue à ce niveau, hormis celle de votre sincérité dans l’instant présent. Aussi faîtes simplement au mieux du possible, ni plus ni moins, sans vous soucier de ce qui n’est pas possible, mais sans le négliger non plus s’il est à votre portée d’y remédier… mais sans déplacer des montagnes non plus. Tout est question d’harmonie et d’équilibre. Quant à l’effet d’un manquement ou d’un autre, s’il ne s’agit donc pas d’une négligence manifeste ou d’un défi malsain lancé à son action, il sera sans conséquences. Pourquoi? Pour la même raison qu’il sera suivi d’effets même en étant hypothétiquement mal exécuté. En réalité, il n’y a qu’une seule et unique manière de mal l’exécuter comme de bien l’exécuter. En schématisant beaucoup, car il existe des conditions suspensives à cela aussi, si c’est « vous » en tant que personnalité qui l’exécutez, le travail effectué sera pour ainsi dire sans effets, car votre personnalité serait à tout égard incapable de susciter l’éveil de la conscience d’un mantra comme de venir à bout de quelque stock karmique que ce soit, et moins encore d’une conscience sous-plantaire. Si en revanche vous confiez ce travail à la Conscience de l’Absolu, au Soi-Suprême en vous (c’est-à-dire, en fait, votre propre version idéale de vous-même), offrant simplement votre présence dans l’incarnation et donc dans la matière, pour que ce soit ce Soi-Suprême qui l’effectue A VOTRE PLACE mais par VOTRE intermédiaire consentant, alors même imparfaitement exécuté dans les formes, le potentiel actif de votre rituel sera optimal. Voilà en réalité où est le secret de ce rituel. Le fait est que seule la Conscience de l’Absolu en vous est capable de réaliser ce travail, donc tout simplement Vous-Même en essence, et non la forme que vous prenez du fait de votre incarnation. La préparation préalable au rituel tend aussi à vous placer dans les conditions adéquates et dans cet état d’esprit favorable.

Toute la puissance du praticien à l’occasion de n’importe quelle pratique ayant une haute portée, disons une forte incidence sur l’encours des événements, c’est-à-dire aussi transformatrice, se trouve dans sa visualisation en tant que forme pensée iconographique (axée sur l’image et la force de son symbole, et non forcément le concept). La mise en application du RiNIK n’échappe pas à la règle. La visualisation forcera votre concentration, évitant du même coup la distraction mentale affaiblissant la qualité de ce qui est entrepris. Ne vous essayez pas à une visualisation « parfaite », faîtes-la simplement dans la mesure de vos propres moyens de l’instant en y mettant l’effort qui vous est nécessaire à cela sans vous préoccuper du résultat, et vous aurez alors fait exactement ce qu’il fallait au mieux du possible en fonction de ce que vous êtes vous-même au moment même où vous l’aurez fait. Voilà aussi ce que l’on appelle, concrètement, hors de tout romantisme « à l’eau de rose », la PERFECTION. Elle ne tient EXCLUSIVEMENT qu’à cette manière d’opérer.

La bougie est là pour vous accompagner tout au long du rituel en effet. L’allumer sera donc la première chose que vous ferez pour exécuter le rituel, et l’éteindre sera la dernière, une fois celui-ci terminé.

Absolument pas. Vous pouvez tout-à fait éteindre l’encens une fois le travail effectué. Cependant n’utilisez pas ce reste d’encens pour une exécution ultérieure du rituel. Prenez TOUJOURS un encens neuf. L’encens précédant serait quelque part empreint d’une partie des énergies de l’exécution précédente. Une exécution doit être toujours nouvelle, conservant 100% du bénéfice des exécutions passées en terme de progression vers l’affaiblissement du double, mais pas en terme d’énergies des exécutions passées qui ont été définitivement clôturées dès leur fin. En cela, réutiliser un bâton d’encens usagé serait un rappel de l’énergie de ces exécutions passées qui ne serait pas forcément idéal. En revanche vous pouvez récupérer ces bâtons usagés dans un contexte ordinaire, c’est-à-dire pour « parfumer » un lieu par exemple.

Dernière mise à jour le 2024-08-27
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