La vie de couple et son incidence
Le couple représente une part très importante parmi les choses essentielles à comprendre, au vu de son impact sur la vie d’un individu, et qui plus est sur le tissu que représente l’ensemble des gens qui gravitent autour dudit couple et qui se trouvent concernés par ce dernier, lequel, souvent, est factuellement subi, quand bien même est-il accepté. Cet impact s’étend également, même si de manière furtive, sur bien davantage que les simples personnes qui le constituent, relativement à l’ensemble des individus qui les entourent, prenant leur couple en considération dans les différents liens sociaux susceptibles de se tisser entre tout ce petit monde. De la famille au cercle proche, amis, collègues de travail, les implications sensibles et les conséquences corollaires ne manquent pas. Un couple influence notablement, de manière évidente, les « unités sociales » (individus impliqués autour de lui, en lien avec le statut de couple que ses deux représentants constituent de fait), et les contextes socio-professionnels qui constituent son univers.
Un tel couple doit donc prendre conscience de ce qui se joue en son sein comme autour de lui par rapport à sa propre manière d’envisager la vie en commun qui en découle, puisqu’elle influence autrui dans sa manière de se comporter.
Il doit aussi être impérativement égalitaire, loin, très loin des délires propres aux siècles passés et encore actuellement du Proche à l’Extrême-Orient, où la femme était considérée comme devoir obéissance aveugle à son mari. Aucun des deux ne doit avoir le dessus sur l’autre, jamais, pour quelque raison, ou plutôt, alors, ne pas former de couple. Que ce soit fantasmatique, subi, demandé ou simplement accepté, la domination psychologique de l’un sur l’autre est profondément malsaine et tendra à disparaître naturellement d’ici aux prochaines décennies tout au plus.
Pourquoi les gens forment-ils des couples ?
Il y a un nombre infini de raisons, bonnes ou mauvaises, sérieuses ou dérisoires, pour que deux personnes se mettent à vivre ensemble et tissent de ce fait des liens affectifs forts, du moins censés l’être. Des raisons culturelles, déterminant les conditions de mariages arrangés, en l’occurrence, dans les milieux de la haute noblesse ou dans les familles orientales traditionnelles (de Proche à Extrême-Orient), pour des raisons de bienséance, pour le regard des autres, pour faire comme tout le monde, pour des raisons financières (cumul de fortunes) ou fiscales, par exemple. Il y a des raisons karmiques, comme les pactes, les liens fluidiques forts, la vengeance, les habitudes, le désir de retrouvailles, etc.
Dans la très grande majorité des cas, un couple représente, pour l’un ou l’autre des deux partenaires, ou pour les deux mais dans ce cas pour des raisons et de manière généralement différentes, une simple béquille. Un moyen de tenir debout grâce à un partenaire qui prend tout ou en partie d’une charge que l’autre refuse d’assumer ou parce qu’il en est incapable, ou bien encore parce qu’il n’en a tout simplement pas envie. Personne n’aime être seul. La première chose à laquelle les gens pensent en arrivant à leur âge d’adulte, voire déjà à l’adolescence, est la personne « idéale » pour eux.
Allons même plus loin, mais en gardant présent à l’esprit qu’il ne s’agit là que de généralités moyennes, non de réalités absolues.
La majorité des adolescentes ont déjà bien présent à l’esprit ce qui va pouvoir constituer, pour elles, un atout de choix, grâce auquel elles vont pouvoir « se vendre » sur le grand marché affectif (pour ne pas dire sexuel), se caser avec le meilleur parti possible et naturellement le plus argenté. Une autre possibilité consiste aussi à se mettre en couple avec la première personne qui leur plait, sans même se demander ce qui se joue à ce moment en toile de fond, ou ce en quoi va pouvoir consister leur avenir commun. Un couple est censé être constitué de deux personnes de sexes opposés*, conscients de ce qu’elles veulent, pour elles-mêmes d’abord, et ensemble ensuite, en tant que ce concept unique que représente le couple, en tant que résultat de l’unification de deux êtres (si possible compatibles). Chacun doit pourtant pouvoir s’y sentir libre malgré tout, et épanoui aux côtés d’un compagnon ou d’une compagne de chemin, d’un ou d’une partenaire de vie. Un couple n’est pas une fin en soi. C’est un marchepied d’évolution, individuel et pour l’ensemble qu’il représente. Il parait que l’on est plus fort à deux. Cela peut être largement le cas si le respect, l’honnêteté, l’Amour (dans la Force, impérativement), la « liberté » (de jouir de son incarnation sans l’entrave d’un tiers) et l’inclusivité sont de la partie.
La bipolarité est la base d’un couple. Nous savons exactement ce que certains d’entre vous en pensent. Imaginez une seconde à une échelle beaucoup plus vaste ce qui se joue. Imaginez un instant deux jours ou deux nuits par 24 heures, deux prises mâles ou deux prises femelles pour un exemple plus prosaïque. Sérieux ? Certainement pas. Le masculin et le féminin, destinés à se complémentariser afin de représenter un centre unique et actif de création : un homme et une femme. Il n'y a pas d'autres alternatives possibles, malgré les tentatives de normalisation de certains dysfonctionnements sociaux, architecturés ainsi à dessein, et que la nature, désormais laissée libre, n'aura de cesse de corriger.
Ce monde a un point commun avec tous les autres : le Principe Créateur bipolaire.
La base de la création est la bipolarité. Le masculin émet et le féminin reçoit. Le féminin inspire et le masculin stabilise. Chacun a besoin d’une contrepartie de polarité opposé. C’est alchimique. On le voit, rien que dans le processus de naissance d’un enfant. La nature a besoin d’un équilibre qui ne peut être atteint que de cette manière, quoi qu’en dise la science, quoi qu’en disent les médias, et surtout, surtout, quoi qu’en disent les laboratoires pharmaceutiques influencés par les banques centrales, influencées elles-mêmes par des expérimentateurs vicieux et pervers qui ont eu l’infâme idée de dérégler totalement le champ hormonal de la population humaine à travers la pollution par les hydrocarbures et les fréquences délétères (dans la gamme des micro-ondes généralement), les vaccins et leurs additifs, les médias de la peur et les additifs alimentaires chimiques, pour rendre stérile, invertir les polarités sexuelles, conditionner les esprits et diviser le Peuple du Royaume de Terremère autour de questions qui ne devraient même pas exister tant le sens leur manque.
En bref : un couple doit être heureux, unis, bipolaire, inclusif et libre de toute forme de chaines !
Pour aller plus loin
Nous vous encourageons à la lecture attentive de la page "Importance de l'érotisation et nouvelle approche de la sexualité", surtout relativement à cette deuxième partie, définissant les nouvelles bases de la notion de fidélité au sein d'un couple légitimement constitué. Accessoirement, les pages "Inclusivité vs exclusivité" et "Valeur de l'Unité" y apporteront un supplément contextuel d'informations.