Présentation de l'Archalchimie
L’Archalchimie est la discipline de travail désignant nommément le cœur même du Grand Magistère en tant que deuxième Maison d’Honneur de la Noblesse Orthodole, comme elle en justifie aussi la qualité nobiliaire à proprement parler. Le rapport étroit entre la discipline Archalchimique au sens très large (et pour ne la ramener qu’à ça) et les rangs de la nouvelle Noblesse qu’elle inclut, se légitime par la noblesse que représente l’acte de la transmutation, en l’occurrence du vil en précieux, du grossier en raffiné, du dense au subtil, de la bassesse et de la vulgarité en la noblesse de la nature humaine sortant de l’ancien paradigme et entrant dans le suivant, laquelle transmutation rejaillit inévitablement sur le monde puisque tout est intimement inter-relié. Elle s’opère tant par les actions extérieures entreprises que par celles qui sont intérieures à l’être profond, lesquelles seules le permettent sur les éléments extérieurs. Cette opération de principe autour de laquelle gravite la vie de l’Archalchimiste, enseigné à cet effet de nombre de secrets relatifs à l’univers et sa mécanique, représente une dynamique permettant aussi de constamment faire passer le monde d’un stade plus médiocre à un autre, plus grandiose, plus précieux. Agir en ce sens est noble. Agir en corrupteur est vil. La noblesse de l’Homme noble se trouve là : dans son concours permanent à l’amélioration du cadre général d’expérience pour tous que représente le plan physique. Il s’agit de la coparticipation à la plus noble mission qui soit : celle qui revient à l’Empire lui-même en tant que la Conscience systémique du Tout, comme au soutien personnel apporté à « l’effort de guerre » visant à toujours combattre pour une cause éternellement plus vaste que soi-même, la plus vaste de toutes, à savoir la cause de l’évolution de la conscience des peuples et des individus.
L’Archalchimiste se place dans le sillon même de la dynamique des forces naturelles auxquelles président celles de l’Empire, dans le cadre de l’expression de sa cohérence globale et de la transcendance de sa Conscience, elle-même consacrée à la perpétuelle évolution du Panuniversium à laquelle contribue alors, à son niveau, l’Archalchimiste auquel est reconnue la qualité et la noblesse de son service, aux côtés du Couple Impérial voué à cette seule et unique cause, en tant que l’incarnation bipolaire du Primordiat.
Pour aller plus loin...
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Mais pour mieux comprendre peut-être ce qu’est l’Archalchimie (toujours avec une majuscule à l’initiale), peut-être faut-il se reporter à la racine du terme duquel elle est issue.
Rappel de la nature de l'alchimie
L'alchimie est une protoscience (!) qui peut se définir comme « un ensemble de pratiques et de spéculations en rapport avec la transmutation des métaux ». L'un des objectifs de l'alchimie est le grand œuvre, c'est-à-dire la réalisation de la pierre philosophale permettant la transmutation des métaux, principalement des métaux « vils », comme le plomb, en métaux nobles comme l'argent ou l'or. Cet objectif se fonde sur la théorie que les métaux sont des corps composés (souvent de soufre et de mercure). Un autre objectif classique de l'alchimie est la recherche de la panacée (médecine universelle) et la prolongation de la vie via un élixir de longue vie. La pratique de l'alchimie et les théories de la matière sur lesquelles elle se fonde, sont parfois accompagnées, notamment à partir de la Renaissance, de spéculations philosophiques, mystiques ou spirituelles.
Des pensées et des pratiques de type alchimique ont existé en Chine dès le IVe siècle av. J.-C. et en Inde dès le VIe siècle. L'alchimie occidentale, quant à elle, commence dans l'Égypte gréco-romaine au début de notre ère, puis dans le monde arabo-musulman, d'où elle se transmet au Moyen Âge à l'Occident latin, où elle se développe à la Renaissance et jusqu'au début de l'époque moderne. Jusqu'à la fin duXVIIe siècle les mots alchimie et chimie sont synonymes et utilisés indifféremment. Ce n'est qu'au cours du XVIIIe siècle qu'ils se distinguent et que l'alchimie connaît une phase de déclin, sans toutefois disparaître totalement, alors que la chimie moderne s'impose avec les travaux d'Antoine Lavoisier et la découverte que les métaux sont des « substances simples ».
Outre la position partisane de Wikipédia en faveur de la pensée unique « prête à consommer », nous le comprenons parfaitement d’ailleurs, nous souhaiterions rectifier le fondement de cette phrase, laquelle, présentée ainsi, est partiellement inexacte :
« La pratique de l’alchimie et les théories de la matière sur lesquelles elle se fonde, sont parfois accompagnées, notamment à partir de la Renaissance, de spéculations philosophiques, mystiques ou spirituelles ».
La pratique de l’alchimie n’est pas « parfois » accompagnée de spéculations philosophiques, mystiques ou spirituelles. Elle leur a toujours été fondamentalement liée, c’est très différent, et la devise suivante en témoigne: « ORA ET LABORA » (qui signifie « Prie et travaille », d’où « oratoire » où l’on prie, et « laboratoire » où l’on travaille ; les deux termes ayant une évidente racine commune). C’est ce qui distingue essentiellement l’alchimie de la chimie en tant que ce qu’il reste de l’alchimie après qu’elle y ait perdu son « âme ». Cette correction de la définition de l’alchimie apportée par Wikipédia est très importante car elle détermine le cœur même de l’Archalchimie, seul dénominateur qui lui soit commun avec l’alchimie.
L’Archalchimie n’est pas issue de l’alchimie, mais leurs fondements respectifs sont connexes et leur objectif, en tout cas au niveau strictement individuel, est équivalent, du moins, comme suggéré ci-dessus, tel a-t-il été aussi un jour celui de l’alchimie : l’accomplissement de soi sur tous les plans de conscience et l’affranchissement de l’âme de ses limitations naturelles inhérentes à la condition à la fois strictement humaine et incarnationnelle, pour embrasser une réalité infiniment plus vaste de soi-même, propre au Soi Suprême.
L'Archalchimie : "Art Sacré" et "Science de la Lignée des Rois Sacrés"
L’Archalchimie est actuellement la voie royale de réalisation de soi hors de tout dogmatisme ou même étiquetage propre à la « spiritualité » (avec ou sans ses déviances constatées), néanmoins sans rien rejeter non plus, conformément aux grands classiques de la voie dite « du milieu » chère au bouddhisme primordial. L’Archalchimie est fondée sur la recherche de la transmutation d’éléments intérieurs à soi-même, dont l’action est notamment capable de canaliser et verrouiller l’influence contaminatrice de certains éléments de nature psychique particulièrement durs et dont la mise en application du RiNIK est le plus flagrant exemple, mais aussi d’enclencher une dynamique transmutatoire d’éléments vils en éléments précieux, d’éléments grossiers en finesse, de la bassesse en la noblesse, de l’animalité humaine propre au satanisme dont l’iconographie bestiale en témoigne, en nature humaine réalisée et accomplie. Par effet de mise en résonance due à l’intrication entre certains éléments intérieurs et extérieurs à soi, l’effet obtenu par de telles opérations est une influence indirecte profondément harmonisante sur l’environnement proche et en moindre mesure sur l’environnement lointain de qui met ces techniques en pratiques et dont témoignent tous ceux qui s’y sont effectivement essayés de manière sérieuse, assortie de résultats relativement rapides.
Il ne s’agit plus de transmuter les métaux vils en métaux précieux, mais les circonstances désavantageuses d’une existence ou d’une ou plusieurs réalités, et de proche en proche, du reste du monde aussi, conformément aux effets obtenus sur eux-mêmes par les Archalchimistes concernés. Le principe et l’objectif sont aussi anciens que le monde, mais les techniques permettant d’en obtenir les effets sont fondamentalement inédits et n’ont jamais été aussi puissants, précis et rapides.
Pour autant, ces techniques sont des moyens, pas des objectifs. Si l’Archalchimiste en est capable, alors il l’est aussi, dans le même registre de moyens, de contribuer au service du monde et de la civilisation à laquelle il appartient ; service obligatoirement désintéressé à titre strictement personnel, en tant que représentant du Corps de la Noblesse Orthodole représentatif de sa seconde Maison d’Honneur, celle du « Grand Magistère », laquelle structure entre autres le Corps des Archalchimistes et constitue de même le corps initiatique entourant le Couple Impérial dont le service du monde et de l’Humanité est pour sa propre part, la seule et véritable mission, la seule vocation, le seul destin, à la vie et à la mort.
En la modification des événements sans agir,
Est le pouvoir du puissant entre tous,
Parce qu’il les sublime par sa seule Présence.18e Fondement des Actes de Pouvoir du Code de la Noblesse Orthodole
Les trois "Œuvres" du Grand-Œuvre Suprême
L’Archalchimiste n’est donc pas tant dans le faire que dans l’être puisqu’il devient lui-même le creuset, l’athanor de sa propre opération de transmutation, révélant, purifiant, polissant, transformant perpétuellement les manquements, faiblesses et laideurs de sa propre nature et celle de l’Humanité à laquelle il est naturellement lié, intriqué, en l’expression des plus hautes valeurs et vertus de la Noblesse d’âme des Temps Orthodols.
L'Œuvre au Noir
Elle est liée à la mort symbolique, à l’oubli de soi en tant qu’individu distinct et surtout égotique, dissocié du tout, au renoncement à soi-même comme la chenille dans la chrysalide, renonçant à cette condition limitée pour accéder à celle du papillon qui lui permettra de déployer ses ailes. Cette Œuvre correspond au dépouillement de tout ce qui n’est pas véritablement issu de la plus pure Noblesse de conscience, ou qui n’en est pas inspiré.
L'Œuvre au Blanc
L’Œuvre au Blanc correspond à la purification vibratoire, au nettoyage de l’inconscient, des corps d’énergie et du karma qui les englue, à la calcination de ses mauvais penchants, de ses turpitudes, au « lavement » minutieux de soi, afin d’affiner le grain de l’âme et éroder en soi toute forme de grossièreté dans l’objectif de révéler et manifester beauté, raffinement et délicatesse, sans pour autant renoncer à manifester la Force intérieure sans compromission, lorsque cela s’avère nécessaire.
L'Œuvre au Rouge
L’Œuvre au Rouge représente cette phase où le corps et l’âme, libérés de leurs scories, peuvent enfin se faire pleinement les canaux de la Conscience Primordiale, du « Déterminisme Suprême », de l’Ordre des Choses, œuvrant perpétuellement à la conciliation des opposés rendus complémentaires par sa force d’harmonisation et de cohérence. L’Archalchimiste manifeste alors le rayonnement de la lumière d’Unité de l’Empire, holographiquement présent en lui, lequel entre en résonance avec cette même présence en toute chose, en tout un chacun, en tant que réel dénominateur commun de l’ensemble de l’Existant connu ou inconnu.
En cela, l’Archalchimiste a expérimenté la valeur du UN. Il ne se contente plus d’y croire, ou de sentir la résonance. Il SAIT au fond de lui, de son être, de son cœur, de sa conscience de veille et de son âme, que tout est véritablement UN et qu’il est en cela au centre-même de son propre univers.
Le grand principe unitiste : quelques éléments mystagogiques plus complexes
Le fer de lance du paradigme Archimagistéral, le principe-même sur lequel est fondée la cohérence de la Néogénèse [2] en tant qu’étape suivante de l’évolution collective et civilisationnelle de l’Humanité pour laquelle s’est apprêtée, c’est l’Unité, néanmoins dans la diversité kaléidoscopique mais complémentarisée des formes. L’Unité est magnifiée par l’Archalchimie dans la mesure où cette dernière ramène toute chose à ce principe de fusion dans le creuset intérieur de la nature humaine où l’athanor se confond avec l’opérateur, l’expérience, le résultat, l’enseignement qui en découle et l’évolution qui s’y applique. Cette évolution s’entend en termes de réformes visant les meilleures mises à jour, voire les plus performantes mises à niveaux possibles, de manière à faire efficacement échec à l’obsolescence et permettre l’expression de cette force dynamique agglutinante à partir de laquelle une nouvelle combinaison d’éléments plus simples pourra donner naissance à une nouvelle réalité plus vaste, complexe et enrichissante que la précédente, mais toujours grâce à, et à partir d’un fondement à la cohérence à toute épreuve, permettant que soient architecturées de manière parfaite, les conditions propices à l’enclenchement et au déploiement des conditions requises à l’expression de cette évolution s’inscrivant dans la perfection du tout. L’Archalchimie est l’enclenchement d’une œuvre de synthèse dans un processus de convergence de forces en direction du principe unitiste de base, ramenant l’esprit vers la valeur de l’Unité en tant qu’axe fondamental de la cohésion de toutes choses entre elles, mais associées selon les bonnes combinaisons à partir de laquelle cohérence et selon ces mêmes combinaisons, pourra être impulsée une nouvelle arborescence au sein du champ du possible, selon le diagramme ci-dessous.
Bien sûr, l’Archalchimiste n’en est pas l’auteur. Il n’en est que l’agent éclairé, mais néanmoins indispensable, opérant sous la guidance impérative de la Lignée des Rois Sacrés, incarnations successives du Primordiat dédiées à l’exécution de cette mécanique entre autres, et incarnations successives de l’Anima Mundi, l’Âme du Monde.
Succession des étapes d'évolution d'un contexte donné
Chaos de départ
Quel que soit le contexte auquel s'applique ce chaos initial, du plus particulier au plus général.
Etape 1Phase de réorganisation
Réorganisation avec conservation de l'information ayant émergé du stade d'évolution précédent.
Etape 2Phase de manifestation
Déploiement et expression d'une nouvelle réalité plus à jour que la précédente.
Etape 3Phase de transmutation
Transmutation des effets potentiellement indésirables produits par la dynamique évolutive appliquée et/ou du système complexe mis à contribution (serait-ce la nature humaine elle-même en tant qu'agent opérant sur le plan physique de la matière dense intriqué avec les différents plans non-physiques et générant une somme indéterminée, mais considérable, de déchets, selon le sous-cycle basique:
consommation de ressources, production d'énergie et évolution adaptative, génération de déchets.
Epuisement progressif du champ des possibles.
Épuisement plus ou moins lent des possibilités de manifestation de la réalité paradigmatique globale par combinaisons multiples aléatoires déterminées par l'orientation donnée au cours des événements les uns à la suite des autres du fait des différents choix possibles formulés au mépris d'autres laissés inexploités dans le cadre de l'expérimentation du réel de chaque "instant présent" imbriqués les uns à la suite des autres.
Etape 5Préparation au changement "paradigmatique" (ou son équivalent contextuel)
Concours à l'entretien énergétique du retour nécessaire au chaos de transition du cadre d'évolution actuel appliqué au champ des possibilités d'expérimentation, dû à l'épuisement des ressources potentielles de ce champ lui-même.
Etape 6Retour au chaos
Retour au chaos intégral du cadre considéré, transmuté en nouveau "chaos de départ", un cran plus haut, que le précédent,
et ainsi de suite.
C'est la raison essentielle pour laquelle les religions (entre autres, mais surtout) telles qu'elles ont toutes été envisagées depuis toujours, ne pouvaient que représenter une base solide de perversions à terme. En effet, elles se faisaient fort de se figer dans une obsolescence érigée en tradition dont la valeur que lui accordent leurs affiliés est en corrélation étroite avec le degré de leur obsolescence, tel un fruit dont le temps finit toujours par entamer l'intégrité, le menant inévitablement vers un état de pourriture, conformément aux lois de la Vie appliquées à toutes les strates de l'existence même. Ce qui n'évolue pas au cours cycle de cohérence de la vie, corrompt ce qui l'entoure et devient source d'ignominie, si splendide qu'il ait pu être du "temps" de sa splendeur, laquelle, jamais, n'est éternelle dans la forme.
L'Archalchimie, le paradigme actuel lui-même, l'Archimagisterium comme toutes les nécessités ayant motivé leur apparition, fluctueront et disparaîtront, eux aussi. Ils devront un jour céder le pas à autre chose et accepter de mourir pour renaître à une autre réalité plus vaste, plus évolutive, plus à jour. Ils devront, comme tout le reste, disparaître sous la forme émergente que nous leur connaissons pour l'instant, quitte à être sacrifiés sur l'autel de la loi d'évolution. Si les conditions permettant l'apparition d'une forme d'obsolescence ne sont pas transmutées, et si, à ce qui fait l'objet de ladite obsolescence, n'est pas permis l'accès à cette nécessité de l'évolution perpétuelle sous prétexte de quelque caractère "sacré" initial ou par simple conservatisme, c'est l’infamie et sa toxicité contaminatrice qui attend même la plus infinie splendeur d'un jour. Tout ce qui est "vivant", au sens extrêmement large du terme, est soumis au principe d'évolution (naissance, croissance, stase, décrépitude, mort et renaissance sous une forme nouvelle). Tout ce qui évolue est soumis à la nécessité de changer autant dans le fond que dans la forme, selon un principe universel de cohérence.
Si une part même infime de l'Empire Lui-même devait ne pas évoluer, malgré le fait et surtout parce qu'Il est Lui-même, entre autres, la conscience même de la dynamique et de la logique d'évolution et de sa cohérence par l'intervention de "l'Esprit Créateur" qui le caractérise, cette part si infime soit-elle, finira toujours, alors, par se corrompre et se séparer de Lui. Ainsi naquit le "mal" un jour. Tel est ce qui ne devra jamais plus se reproduire, ni de cette manière, ni d'une autre.
Le Hiérodarque
NB : le cartouche de la couverture du livre présenté ci-dessus n’intègre en aucune manière de symbole ou d’écrits arabes ou musulmans, malgré les éventuelles apparences. Aucune tradition n’est à l’origine de ce symbole, si ce n’est purement Archimagistérale.
Définition publique de l'Archalchimie
Exprime une notion d'alchimie opérant ses processus transmutatoires sur la potentielle corruption ou corruptibilité de la nature Humaine, lesquels s'étendent à des sphères d'influences dépassant de loin cette même nature. Cette dernière, néanmoins, demeure toujours au centre des processus opératifs qui s'exercent également sur les vibrations délétères, et à l'entretien desquelles, dans le sens de leur purification, coopèrent en conscience les "Archalchimistes" hors du cas particulier, en tant que les serviteurs de la noblesse d'un déterminisme d'ordre supérieur, propre à l'Empire lui-même, au travers de la poursuite de l'idéal d'Unité et de la Force dans l'Amour ainsi dégagée de la mièvrerie, de l'illusion, de la manipulation d'autrui, et donc de la faiblesse.
L'Archalchimie exprime, par essence, le passage d'un état à un autre, voire d'une condition à une autre, d'inférieure à supérieure, par ce passage en soi-même et en premier lieu pour étendre son effet à l'extérieur de soi dès lors que le même effet est obtenu en soi-même, dans une logique de raffinement et d'évolution de sa propre conscience en tant que point de forge du concours à l'évolution d'autrui comme des circonstances présidant à l'évolution de toute chose, déjouant le choc en retour et le karma, par l'Amour-Force de la conscience éclairée et vigilante, dans l'attention juste et l'aspiration à la Perfection contextuelle propre à l'instant présent.
Je crois que l'Archalchimiste dépasse dans ses idéaux le cadre de sa petite personne, pour aspirer à des idéaux tels que sentir la Vie en toute chose, faire UN avec l'énergie d'évolution s'écoulant en chacun, ancrer dans l'incarnation l’énergie qui creuse le sillon, pour qu'elle rayonne au travers de sa présence sur tous les plans.
Un Archalchimiste
Références extérieures
[1] Page : « Déconstruire la Dictature de la Connaissance » sur le site de l’Archimagisterium.
[2] Page : « L’Anthropie » sur le site de l’Archimagisterium.