L'échec de la démocratie
Cette page dénote un peu de l’ensemble de celles qui constituent cette version du site de l’Archimagistère, laquelle est davantage tournée vers l’avenir proche que vers le passé. Néanmoins, le sujet de la démocratie est suffisamment incident dans la conscience collective en tant que valeur fondamentale de référence, pour en dénoncer assez rapidement le bienfondé, tant ce concept de démocratie est pernicieux. La foi que l’Humanité lui accorde l’enchaîne à son propre passé et aux fondements de l’enfer qu’elle a traversé.
Qu’il nous soit permis, à titre exceptionnel, cette étude comparative nous faisant jeter un dernier regard vers le passé, avant de l’abandonner aux flammes de la disparition à tout jamais, comme à l’oubli, à l’indifférence, à l’inexistence.
La démocratie est le fer de lance de l’ancien paradigme, le joyau de la civilisation industrielle. Elle est la légitimation de tout, absolument tout ce qui se produit en ce monde et qui a besoin d’être légitimé. Les guerres, les destructions de civilisations (Alep par exemple) et des cultures (la mise à sac de Beyrouth et de son extraordinaire musée, unique au monde, et irrémédiablement détruit), les mises en application de politiques sanitaires impossible à contester et destructrices, les ruines économiques (l’effondrement de la Grèce grâce aux bons soins de la Banque Goldman Sachs mandatée à cet effet par les États-Unis afin de mettre facilement main basse sur les nappes pétrolières sous-marines dans ses eaux territoriales), l’instauration de politiques de terreur parmi la population mondiale dans le but de la tenir en laisse, et tout ce que l’histoire contemporaine serait susceptible de pouvoir en raconter, que ce soit crédible ou non.
La démocratie a été vendue aux peuples comme étant la seule et unique solution viable pour un monde civilisé, la preuve en a-t-il été donné que l’instauration des dictatures diverses et variées se sont révélées catastrophiques, tant au niveau économique que social, y compris au niveau démographique. Il suffit, pour s’en convaincre aisément, de se souvenir, à seul titre d’exemple, de la « Longue Marche » instaurée en termes de purge par Mao Zedong, encore encensé à demi-mots par Wikipédia (en anglais) malgré les horreurs perpétrées par ses soins.
Le pouvoir est commandement, et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n'est donc qu'une fiction et c'est une fiction qui ne peut être à la longue que destructrice des libertés individuelles. (www.wikiberal.org)
Bertrand de Jouvenel
Tout est question de point et d’angle de vue. Celui de la démocratie est partisan du politiquement correct, relativement à certaines susceptibilités ne devant être froissées eu égard au consentement universel relatif à certaines positions occupées par certains individus. La démocratie est synonyme de liberté d’opinion, mais à condition de ne contrarier personne de puissant, ni de compromettre ses profits, ni les vérités qu’il tente de cacher, un peu comme tout le monde. Peu importe. Chacun connait suffisamment bien le monde duquel il est issu pour se faire une idée assez précise de ce qu’il en est. La démocratie, comme tant d’autres choses, fait partie des postulats, des croyances, voire des superstitions, oserons-nous dire des mythes, auxquels tout un chacun adhère ou non, à sa convenance, personnelle ou le plus souvent collective, convenance savamment orientée par les médias.
Il ne s’agit pas de faire le procès de la démocratie. Il suffit de prendre conscience que c’est grâce à elle et à elle seule que toutes les horreurs contemporaines ont pu avoir lieu. La démocratie seule aura permis à ce point le règne incommensurablement puissant de l’argent, au point que l’Histoire des Hommes ait tout simplement pu être achetée afin de pouvoir la manipuler à loisir, pour les besoins de la cause. Lorsque des fortunes personnelles dépassent de loin le PIB de certains grands pays prospères, on comprend à quel point rien n’est impossible à ces fortunes-là, à quel point tout et tout le monde peut être acheté à condition d’y mettre le prix, faute d’être éliminé. Mais on ne doit pas énumérer les faits probants qui l’attestent aisément, faute d’être pointé du doigt et cloué au pilori du complotisme. Étrange forme de liberté d’expression que celle de devoir se rallier à l’avis collectif au risque de se voir stigmatisé. Du moins étrange pour une « démocratie ».
Revenons-en cependant aux dictatures ayant laissé place aux régimes démocratiques. Quel est le point commun entre ces dictatures, tour à tour, faites et défaites, et la démocratie, les empires financiers colossaux, la capacité de fabriquer de l’argent à partir de rien et d’endetter la Terre entière ? Les dictatures, comme toute autre chose en ce monde, ont besoin de la même ressource pour prospérer : l’argent.
Les banques centrales sont un organe de pilotage du seul vrai pouvoir. Son instrument, avalisé par la démocratie et permis par elle, c’est le commerce, international, gigantesque et déshumanisé, le libéralisme… LE MARCHÉ.
Démonstration simple
- Quiconque a besoin d’argent a besoin des banques. De la ménagère aux empires, tout le monde a besoin d’argent, alors tout le monde a besoin des banques.
- Les banques, quant à elles, ont besoin des banques centrales pour fonctionner.
- Les banques centrales, pour leur part, n’ont besoin que d’une chose : la Banque Centrale des banques centrales, la Banque des Règlements Internationaux à Bâle, « Bank for the International Settlements » en version originale, répondant à l’acronyme : « B.I.S. ».
- La BIS, elle, dans son petit lopin de terre bâlois, n’a besoin de rien ni de personne, ni n’est soumise à aucune loi ni à aucune autorité, pas davantage suisse qu’européenne ou autre.
- Et derrière la BIS et son ex-tout-puissant gouverneur se trouvaient les grandes familles régnantes qui dirigeaient le monde, car elles auraient été potentiellement capables de l’acheter plusieurs fois si elles ne l’avaient déjà détenu d’une manière ou d’une autre. Mais de quoi ces familles avaient-elles besoin ? Eh bien du reste du monde, à genoux, dans l’ignorance du fait qu’elles exerçaient sur eux leur toute-puissance, laquelle n’aurait pu s’exercer si facilement si tout le monde en avait été informé.
Ces familles qui opéraient dans l’ombre des coulisses d’une démocratie qui vous autorise à aller voter pour seul et unique pouvoir laissé au peuple, permettaient que soient élus des représentants du peuple, en se prémunissant contre tout risque d’affaiblissement de la démocratie qui leur permettait d’exercer leur puissance (la conjugaison au passé est bien sûr intentionnelle). Des représentants du peuple à leurs ordres à elles, les treize plus puissantes familles au monde, parmi lesquelles on trouve des noms tels que Rockefeller, Rothschild, Windsor, lesquels ne figureront jamais dans aucun classement Forbes, ni Bloomberg. Qui leur aurait jamais contesté leur pouvoir ? Cependant, quel pouvoir était plus grand que le leur pour le leur contester valablement ? Il y a une réponse à cette question. Réfléchissez-y.
Le seul argument de la démocratie : la possibilité de voter, alors qu’aucun des grands décideurs en et pour ce monde n’est élu par quiconque (agences gouvernementales étasuniennes, fondations de milliardaires, la Banque Mondiale, OMS, OCDE et autres OTAN, etc.).
La démocratie ne peut pas fonctionner parce qu’elle n’existe pas. C’est dommage, mais c’est comme ça. Le système a appris au monde à craindre tout ce qui n’est pas la démocratie afin de se conserver la faveur du peuple de cette planète. On vous a dit que si la démocratie s’enfuyait, le spectre de la dictature reviendrait avec son cortège de privation de libertés et que la démocratie était la seule manière de la juguler. En théorie, c’est compréhensible. Mais voilà, dictatures et démocraties sont créées de toutes pièces par les mêmes acteurs au sommet du pouvoir financier qui achète tout et tout le monde, faisant et défaisant les régimes, instrumentalisant les événements (révolutions, insurrections, épidémies, guerres, actes terroristes, etc.) eux-mêmes créés de toutes pièces puisque tout est lié au pouvoir de l’argent parce que tout en dépend (les révolutionnaires ont besoin d’argent, les insurgés de quelque système ont besoin d’argent, les laboratoires pharmaceutiques ont besoin d’argent, les États ont besoin d’argent, avec obligation d’emprunter sur les marchés privés plutôt que le créer eux-mêmes à taux zéro, les terroristes ont besoin d’argent, etc.). Une fois encore, chacun est libre d’y croire ou non (n’est-on pas — encore — en démocratie ?). Néanmoins, le fait est bien là. L’évidence qui l’atteste aussi alors que la démocratie est à l’agonie, et son démantèlement est à ce jour, pour cette seule raison, absolument inévitable et à ce titre, déjà préprogrammé.
Évidemment, pourquoi tout ceci ne serait-il pas, purement et simplement, du complotisme le plus basique qui soit ? Parce que la télé a oublié d’en parler ? Oups… ! Qui a dit que les puissants à la tête des plus gigantesques fortunes étaient obligatoirement bienveillants ? Tout le monde l’aurait remarqué si tel était le cas. En réalité, ces gens n’étaient pas mauvais… ils étaient pires, mais c’est une autre histoire. Quand bien même leur accorderait-on le bénéfice du doute, ils faisaient juste ce pour quoi ils étaient là, présents. A minima, ils ne faisaient que du business. Et quand on a une fortune colossale à gérer et à faire croître, laquelle prend à partie des nations et intervient dans l’équilibre économique mondial, on ne lésine pas sur les moyens, comme… on ne fait pas d’omelettes sans casser d’œufs.
Pour aller plus loin dans le raisonnement
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